« Si tout allait bien Donald Trump ne serait pas élu président » c’est en ces termes que l’inspecteur principal des Impôts a répondu aux détracteurs du régime de Macky Sall en prenant part à l’émission décryptage de Pape Alé Niang. Ces détracteurs regrettent le fait que les secteurs de la santé, de l’éducation aient connu moins d’investissement contrairement aux infrastructures pour lesquelles l’Etat injecte d’importantes ressources financières.
Devant cette interpellation, le responsable politique de l’APR à Kolda a soutenu que le développement du pays est un processus et c’est en cours même s’il reconnait que des efforts restent à faire.
Revenant sur le taux de croissance de 6,5% en 2015, résultat que l’opposition minimise, M. Diao a d’abord expliqué comment ces 6, 5%, qu’il considère d’ailleurs comme une performance, ont pu être atteints dans un « contexte économique mondial compliqué ».
« L’année dernière avec les investissements consentis dans de le secteur primaire à savoir l’agriculture et l’élevage, le taux de croissance a connu un grand bon pour terminer à la fin de l’année à 6.5%. Et malgré le scepticisme de certains membres de l’opposition, ce taux a bel et bien été confirmé par les institutions internationales » évoque-t-il.
Il poursuit en disant ceci : « ce qui a boosté le taux de croissance en 2015 c’est le secteur agricole. Faut-il rappeler que le gouvernement du Sénégal a pris des mesures concrètes et rassurantes à l’endroit des acteurs du secteur agricole. C’est le cas des riziculteurs dans la vallée du fleuve Sénégal pour qui l’Etat a emblavé des hectares et des hectares de périmètres y compris la vallée de l’Anambé. Sans parler des autres secteurs qui polarisent les 50% de la population ».
A ceux qui estiment que les 6, 5% ne se mangent pas, M. El hadji Mamadou Diao leur a fait comprendre que ce taux de croissance profite bien aux populations. Pour preuve « on n’entend nulle part la presse faire écho d’une quelconque distribution de vivre de soudure aux paysans. C’est parce que les cultivateurs arrivent à vivre de leur récolte ».
Devant cette interpellation, le responsable politique de l’APR à Kolda a soutenu que le développement du pays est un processus et c’est en cours même s’il reconnait que des efforts restent à faire.
Revenant sur le taux de croissance de 6,5% en 2015, résultat que l’opposition minimise, M. Diao a d’abord expliqué comment ces 6, 5%, qu’il considère d’ailleurs comme une performance, ont pu être atteints dans un « contexte économique mondial compliqué ».
« L’année dernière avec les investissements consentis dans de le secteur primaire à savoir l’agriculture et l’élevage, le taux de croissance a connu un grand bon pour terminer à la fin de l’année à 6.5%. Et malgré le scepticisme de certains membres de l’opposition, ce taux a bel et bien été confirmé par les institutions internationales » évoque-t-il.
Il poursuit en disant ceci : « ce qui a boosté le taux de croissance en 2015 c’est le secteur agricole. Faut-il rappeler que le gouvernement du Sénégal a pris des mesures concrètes et rassurantes à l’endroit des acteurs du secteur agricole. C’est le cas des riziculteurs dans la vallée du fleuve Sénégal pour qui l’Etat a emblavé des hectares et des hectares de périmètres y compris la vallée de l’Anambé. Sans parler des autres secteurs qui polarisent les 50% de la population ».
A ceux qui estiment que les 6, 5% ne se mangent pas, M. El hadji Mamadou Diao leur a fait comprendre que ce taux de croissance profite bien aux populations. Pour preuve « on n’entend nulle part la presse faire écho d’une quelconque distribution de vivre de soudure aux paysans. C’est parce que les cultivateurs arrivent à vivre de leur récolte ».