C’est en 2011 que la fille a été donnée en mariage à son cousin O. Sow. Mais c’est seulement en 2013 que le mariage fut consommé. Une partie loin d’être une promenade de santé, selon la mariée.
A l’en croire, son mari qui a fait le déplacement jusqu’à son village Deni Biram Ndaw a du faire recours à ses biceps pour l’obliger à entretenir des rapports sexuels. Selon elle, c’est son ami O. Kâ qui a passé la nuit dans la même chambre que le couple, qui lui a tenu les bras pour permettre à son époux de la pénétrer. Le deuxième rapport qu’elle a eu avec son mari au domicile conjugal l’aura décidé de fuguer chez sa sœur à Kayar et de porter plainte contre son époux pour viol. Ce que le prévenu et son complice ont balayé du revers de la main.
Le substitut du procureur a requis la relaxe pure et simple des prévenus car pour lui, dès l’instant qu’on se marie, il n’y a plus possibilité de viol. O. Sow et O. Kâ ont bénéficié d’une liberté provisoire en attendant le verdict prévu le janvier prochain.
A l’en croire, son mari qui a fait le déplacement jusqu’à son village Deni Biram Ndaw a du faire recours à ses biceps pour l’obliger à entretenir des rapports sexuels. Selon elle, c’est son ami O. Kâ qui a passé la nuit dans la même chambre que le couple, qui lui a tenu les bras pour permettre à son époux de la pénétrer. Le deuxième rapport qu’elle a eu avec son mari au domicile conjugal l’aura décidé de fuguer chez sa sœur à Kayar et de porter plainte contre son époux pour viol. Ce que le prévenu et son complice ont balayé du revers de la main.
Le substitut du procureur a requis la relaxe pure et simple des prévenus car pour lui, dès l’instant qu’on se marie, il n’y a plus possibilité de viol. O. Sow et O. Kâ ont bénéficié d’une liberté provisoire en attendant le verdict prévu le janvier prochain.