Emprunter un taxi depuis la ville pour qu’il vous mène vers les quartiers de ouest foire, nord foire, Yoff ou autres, relève d’un véritable parcours du combattant.
Les chauffeurs appuient sur l’accélérateur avec un non d’un signe de la tête. Les plus civilisés vous disent « non, je ne peux pas y aller », avant de foncer.
D’autres chauffeurs plus téméraires vous taxent 5.000 francs et voir plus là où d’habitude vous payez 2.000 ou 2.500f. La raison de cette augmentation ou de ce refus catégorique ?
La faute aux embouteillages monstres qui font perdre beaucoup de temps aux routiers. Avec les pluies qui se sont abattues sur la capitale, beaucoup de routes sont devenues impraticables parce que gorgées d’eau.
Les chauffeurs font des mains et des pieds pour arriver à destination et gagner en temps. La VDN en ces temps est devenue infernale. De longues files de voitures qui ne bougent presque pas campent le décor.
Et quand vous êtes sur la VDN, la circulation semble plus chargée. Le chauffeur hésite entre la voie de gauche et la voie de droite. Il change une première fois, puis une deuxième, et encore et encore.
Au bout de quelques minutes, vous perdez patience : « on semble toujours être sur la mauvaise file, sans cesse on nous double et si on change de file, c'est la voie que nous venons de quitter qui accélère. »
Le chauffeur de taxi furax bifurque et prend un raccourci avec un petit juron à la bouche. Et c’est encore pire au niveau des ronds points où l’anarchie règne en maitre absolu en l’absence des forces de l’ordre éloignées certainement par cette pluie qui tombe accompagnée de tonnerre.
Les causes de ces embouteillages sont multiples selon le chauffeur, mais résulteraient surtout des travaux de construction des autoponts sur la Voie de dégagement nord à hauteur de la cité Keur Gorgui et des cimetières Saint Lazare. Mais il y’a aussi la pluie qui favorise le dense trafic, les chocs multiples, les pannes occasionnées au milieu ou sur le bas côté de la chaussée.
Pour le moment ça roule au ralenti. Et l'automobiliste, le chauffeur comme le client sénégalais s’impatiente, peste, ronge son frein. On le comprend : il a perdu pas moins de 2 heures voire plus, bloqué dans les interminables embouteillages.
Les chauffeurs appuient sur l’accélérateur avec un non d’un signe de la tête. Les plus civilisés vous disent « non, je ne peux pas y aller », avant de foncer.
D’autres chauffeurs plus téméraires vous taxent 5.000 francs et voir plus là où d’habitude vous payez 2.000 ou 2.500f. La raison de cette augmentation ou de ce refus catégorique ?
La faute aux embouteillages monstres qui font perdre beaucoup de temps aux routiers. Avec les pluies qui se sont abattues sur la capitale, beaucoup de routes sont devenues impraticables parce que gorgées d’eau.
Les chauffeurs font des mains et des pieds pour arriver à destination et gagner en temps. La VDN en ces temps est devenue infernale. De longues files de voitures qui ne bougent presque pas campent le décor.
Et quand vous êtes sur la VDN, la circulation semble plus chargée. Le chauffeur hésite entre la voie de gauche et la voie de droite. Il change une première fois, puis une deuxième, et encore et encore.
Au bout de quelques minutes, vous perdez patience : « on semble toujours être sur la mauvaise file, sans cesse on nous double et si on change de file, c'est la voie que nous venons de quitter qui accélère. »
Le chauffeur de taxi furax bifurque et prend un raccourci avec un petit juron à la bouche. Et c’est encore pire au niveau des ronds points où l’anarchie règne en maitre absolu en l’absence des forces de l’ordre éloignées certainement par cette pluie qui tombe accompagnée de tonnerre.
Les causes de ces embouteillages sont multiples selon le chauffeur, mais résulteraient surtout des travaux de construction des autoponts sur la Voie de dégagement nord à hauteur de la cité Keur Gorgui et des cimetières Saint Lazare. Mais il y’a aussi la pluie qui favorise le dense trafic, les chocs multiples, les pannes occasionnées au milieu ou sur le bas côté de la chaussée.
Pour le moment ça roule au ralenti. Et l'automobiliste, le chauffeur comme le client sénégalais s’impatiente, peste, ronge son frein. On le comprend : il a perdu pas moins de 2 heures voire plus, bloqué dans les interminables embouteillages.