S’exprimant dans un entretien publié dans Le Quotidien du lundi 3 septembre, M. Thiam précise que c’est cette année-là, en effet, que ‘’l’ancien président de la République […] verra son mandat à la tête’’ de l’OIF ‘’prendre fin’’.
‘’Compte tenu de ce que Abdou Diouf a fait pour le pays, dont son départ de la Présidence du Sénégal [qui] restera dans l’histoire politique du Sénégal, le chef de l’Etat a donc demandé que le Sénégal accueille la Conférence internationale de la francophonie’’, a-t-il expliqué.
Précisant que cela ‘’va coïncider avec la fin du deuxième et dernier mandat du Président Diouf à la tête de l’instance de la Francophonie’’, il a souligné que le Sénégal mettra à profit cette occasion pour ‘’honorer son fils pour l’ensemble de ses œuvres’’.
‘’Cela sera une manière bien particulière de montrer à la face du monde que la Nation sénégalaise lui est reconnaissante. Je pense que c’est le minimum que l’on puisse faire pour un citoyen sénégalais qui aura fait une carrière comme celle de Abdou Diouf’’.
Mais Abou Abel Thiam précise qu'''il ne s'agit pas [...] de rétribuer'' Abdou Diouf qui, du reste, ''ne demande rien [...]''.
''C'est le président de la République qui estime que l'Etat doit rendre hommage à M. Diouf au regard de son parcours. C'est ce qui explique, en quelque sorte, le désir d'organiser la Conférence internationale de la Francophonie à Dakar, en 2014. Nous ne voulons pas attendre sa mort pour lui dire que le Peuple lui est reconnaissant'', a-t-il expliqué.
Le président Abdou Diouf fut élu secrétaire général de l’Organisation de la Francophonie le 20 octobre 2002, en remplacement de l’Egyptien Boutros Boutros-Ghali. Il fut reconduit à l'unanimité à ce poste lors du XIème Sommet de la Francophonie à Bucarest en 2006.
Le Sénégal a déjà abrité du 24 au 26 mai 1989 la 3ème édition du Sommet, de ce qui était encore la Francophonie. C'est la première fois que le sommet se tenait sur le continent africain, avec l'objectif déclaré d'''ancrer plus fortement la Francophonie dans le Sud pour illustrer sa diversité linguistique et culturelle''.
Le prochain sommet de l'OIF se tiendra à Kinshasa, en République démocratique du Congo, en octobre prochain.
‘’Compte tenu de ce que Abdou Diouf a fait pour le pays, dont son départ de la Présidence du Sénégal [qui] restera dans l’histoire politique du Sénégal, le chef de l’Etat a donc demandé que le Sénégal accueille la Conférence internationale de la francophonie’’, a-t-il expliqué.
Précisant que cela ‘’va coïncider avec la fin du deuxième et dernier mandat du Président Diouf à la tête de l’instance de la Francophonie’’, il a souligné que le Sénégal mettra à profit cette occasion pour ‘’honorer son fils pour l’ensemble de ses œuvres’’.
‘’Cela sera une manière bien particulière de montrer à la face du monde que la Nation sénégalaise lui est reconnaissante. Je pense que c’est le minimum que l’on puisse faire pour un citoyen sénégalais qui aura fait une carrière comme celle de Abdou Diouf’’.
Mais Abou Abel Thiam précise qu'''il ne s'agit pas [...] de rétribuer'' Abdou Diouf qui, du reste, ''ne demande rien [...]''.
''C'est le président de la République qui estime que l'Etat doit rendre hommage à M. Diouf au regard de son parcours. C'est ce qui explique, en quelque sorte, le désir d'organiser la Conférence internationale de la Francophonie à Dakar, en 2014. Nous ne voulons pas attendre sa mort pour lui dire que le Peuple lui est reconnaissant'', a-t-il expliqué.
Le président Abdou Diouf fut élu secrétaire général de l’Organisation de la Francophonie le 20 octobre 2002, en remplacement de l’Egyptien Boutros Boutros-Ghali. Il fut reconduit à l'unanimité à ce poste lors du XIème Sommet de la Francophonie à Bucarest en 2006.
Le Sénégal a déjà abrité du 24 au 26 mai 1989 la 3ème édition du Sommet, de ce qui était encore la Francophonie. C'est la première fois que le sommet se tenait sur le continent africain, avec l'objectif déclaré d'''ancrer plus fortement la Francophonie dans le Sud pour illustrer sa diversité linguistique et culturelle''.
Le prochain sommet de l'OIF se tiendra à Kinshasa, en République démocratique du Congo, en octobre prochain.