Mohamed Diouf ne chérit pas sa mère. La preuve en est qu'il a menacé sa mère de mort et sa sœur avec une arme à feu. Pour soutirer de l'argent à sa mère, il n'hésite pas à exercer sur elle une violence inouïe et sans retenue.
En effet, le mis en cause est un "drogué" , un véritable accroc à la cocaïne. Tous ceux qui le connaissent émettent le même jugement. Le jour des faits, il a voulu s'acheter de l’héroïne, mais fauché comme "un rat d'église", il n'a d'autre choix que de se rabattre sur sa mère à qui il a demandé la somme de 13 000 francs que cette dernière lui refusa. Il n'a trouvé comme recours que celui de voler la batterie de la voiture de sa mère qui l’a surpris et traité de tous les noms d’oiseaux.
C'est sur ces entrefaites que le prévenu a sorti une arme pour la menacer de mort ainsi que sa sœur qui était venue pour calmer les ardeurs. C'est par la suite que la nommée , Mame Pauline Seck est partie à la police du 4ème arrondissement pour porter plainte contre son fils aîné. Arrêté, Mohamed Abdallah Diouf avait reconnu tous les faits qui lui sont reprochés à l'enquête préliminaire, et même devant le procureur. Seulement, il a changé de version devant le juge en niant catégoriquement les faits.
"Je ne reconnais pas les faits qui me sont reprochés ni devant les enquêteurs ni devant le procureur. J’ai signé le procès-verbal sans le lire », a fait savoir le prévenu. Pis, il explique que la voiture familiale serait à l'origine de tous ses déboires avec sa famille.
Ainsi, il soutient que la voiture appartient à toute la famille, car c’est son père qui l’avait achetée avant sa mort. "Ce jour-là, en allant à la boutique, j'ai remarqué que la voiture avait un problème de marche arrière. Et quand je suis venu vérifier la panne, la maman a surgi de nulle part et a commencé à regarder si la batterie était à sa place, et après a commencé à me traiter de tous les noms. " Et quand, j’ai levé ma main alors que je tenais un mouchoir, elle l’a confondu avec une arme."
Le représentant du ministère public a requis l’application de la loi. De son côté, l'avocat de la partie civile a souligné que 40 jours après la mort de son père, le mis en cause Mohamed Diouf est venu réclamer à sa mère sa part de l'héritage. Celle-ci, lui avait remis une somme de 6 millions de francs Cfa. Une somme qu'il a encore utilisée pour acheter de la drogue. Il a été recruté en tant qu'employé à la Compagnie sahélienne d’entreprise où il n’a fait que deux mois. Les victimes vivent un véritable calvaire à cause de sa personne", a-t-il plaidé.
Finalement, Mohamed Abdallah Diouf a été condamné à un mois ferme...
En effet, le mis en cause est un "drogué" , un véritable accroc à la cocaïne. Tous ceux qui le connaissent émettent le même jugement. Le jour des faits, il a voulu s'acheter de l’héroïne, mais fauché comme "un rat d'église", il n'a d'autre choix que de se rabattre sur sa mère à qui il a demandé la somme de 13 000 francs que cette dernière lui refusa. Il n'a trouvé comme recours que celui de voler la batterie de la voiture de sa mère qui l’a surpris et traité de tous les noms d’oiseaux.
C'est sur ces entrefaites que le prévenu a sorti une arme pour la menacer de mort ainsi que sa sœur qui était venue pour calmer les ardeurs. C'est par la suite que la nommée , Mame Pauline Seck est partie à la police du 4ème arrondissement pour porter plainte contre son fils aîné. Arrêté, Mohamed Abdallah Diouf avait reconnu tous les faits qui lui sont reprochés à l'enquête préliminaire, et même devant le procureur. Seulement, il a changé de version devant le juge en niant catégoriquement les faits.
"Je ne reconnais pas les faits qui me sont reprochés ni devant les enquêteurs ni devant le procureur. J’ai signé le procès-verbal sans le lire », a fait savoir le prévenu. Pis, il explique que la voiture familiale serait à l'origine de tous ses déboires avec sa famille.
Ainsi, il soutient que la voiture appartient à toute la famille, car c’est son père qui l’avait achetée avant sa mort. "Ce jour-là, en allant à la boutique, j'ai remarqué que la voiture avait un problème de marche arrière. Et quand je suis venu vérifier la panne, la maman a surgi de nulle part et a commencé à regarder si la batterie était à sa place, et après a commencé à me traiter de tous les noms. " Et quand, j’ai levé ma main alors que je tenais un mouchoir, elle l’a confondu avec une arme."
Le représentant du ministère public a requis l’application de la loi. De son côté, l'avocat de la partie civile a souligné que 40 jours après la mort de son père, le mis en cause Mohamed Diouf est venu réclamer à sa mère sa part de l'héritage. Celle-ci, lui avait remis une somme de 6 millions de francs Cfa. Une somme qu'il a encore utilisée pour acheter de la drogue. Il a été recruté en tant qu'employé à la Compagnie sahélienne d’entreprise où il n’a fait que deux mois. Les victimes vivent un véritable calvaire à cause de sa personne", a-t-il plaidé.
Finalement, Mohamed Abdallah Diouf a été condamné à un mois ferme...