Vous êtes le leader du parti politique Bcg, allié du Président Macky Sall, Bonjour
Bonjour !
Pour certains, ce retour d’Abdoulaye et ses riposte annoncés du Pds vont mener à une crise politique. Vous le croyez ?
Ca me fait rire ! (il se répète), il n’y aura pas de crise et il n’y a pas de crise. Tout ce que Wade dit ainsi que ses thuriféraires, c’est de la grande gueule, c’est de la bravade, c’est du chantage, c’est de la fanfaronnade, c’est du discrédit qui est jeté sur le président de la République (Macky Sall). Y a un certain article 80 qu’ils (les libéraux) utilisaient contre nous. La chance qu’ils aient, c’est que le Président de la République du Sénégal s’appelle Macky Sall ! S’il s’appelait Jean-Paul Dias, je vous garantis qu’y a longtemps qu’on ne serait pas en train de parler de ce genre de problèmes-là. C’est le président Macky Sall que j’interpelle, il doit faire preuve de fermeté pour ne pas se faire surprendre.
Vous pensez que Ousmane Ngom ou Amadou Sall qui accusent le Président de la République de blanchiment d’argent, de grand banditisme financier doivent être poursuivis ?
Ils sont passibles de l’article 80 (l'article 80 du Code pénal sénégalais prévoit et sanctionne les actes, manœuvres et propagandes, de nature à compromettre la sécurité publique, occasionner des troubles politiques graves, enfreindre les lois du pays, ou jeter le discrédit sur les institutions politiques ou leur fonctionnement). Je vous dis une fois de plus que si le président de la République ne s’appelait pas Macky Sall mais Jean-Paul Dias, ils ne seraient pas là entrain de faire la grande gueule. Alors quant à Abdoulaye Wade, dès qu’on touche à son fils, il saute en l’air. Mais quand il était en train de comploter contre les fils des autres et qu’il les jette en prison à la veille des fetes religieuses, en ce moment-là, c’était normal. Mais maintenant qu’on parle de son fils, qui est le roi des prédateurs, qui est grand croix de l’ordre des voleurs, il faut que tout le Sénégal bouge. Le Sénégal ne bougera pas.
Jean-Paul Dias, vous voudriez bien prendre votre revanche sur Abdoulaye Wade et sa famille ?
Ce n’est pas une affaire de revanche. La revanche, je la laisse entre les mains de Dieu. Mais si on m’avait confié des rôles dans ce domaine-là, on ne serait pas là entrain de parler. Wade doit nous parler lui et ces gens-là, des 80 milliards qui ont été volés en Cote d’Ivoire dans des agences bancaires et qui ont été recyclés au Sénégal.
Bonjour !
Pour certains, ce retour d’Abdoulaye et ses riposte annoncés du Pds vont mener à une crise politique. Vous le croyez ?
Ca me fait rire ! (il se répète), il n’y aura pas de crise et il n’y a pas de crise. Tout ce que Wade dit ainsi que ses thuriféraires, c’est de la grande gueule, c’est de la bravade, c’est du chantage, c’est de la fanfaronnade, c’est du discrédit qui est jeté sur le président de la République (Macky Sall). Y a un certain article 80 qu’ils (les libéraux) utilisaient contre nous. La chance qu’ils aient, c’est que le Président de la République du Sénégal s’appelle Macky Sall ! S’il s’appelait Jean-Paul Dias, je vous garantis qu’y a longtemps qu’on ne serait pas en train de parler de ce genre de problèmes-là. C’est le président Macky Sall que j’interpelle, il doit faire preuve de fermeté pour ne pas se faire surprendre.
Vous pensez que Ousmane Ngom ou Amadou Sall qui accusent le Président de la République de blanchiment d’argent, de grand banditisme financier doivent être poursuivis ?
Ils sont passibles de l’article 80 (l'article 80 du Code pénal sénégalais prévoit et sanctionne les actes, manœuvres et propagandes, de nature à compromettre la sécurité publique, occasionner des troubles politiques graves, enfreindre les lois du pays, ou jeter le discrédit sur les institutions politiques ou leur fonctionnement). Je vous dis une fois de plus que si le président de la République ne s’appelait pas Macky Sall mais Jean-Paul Dias, ils ne seraient pas là entrain de faire la grande gueule. Alors quant à Abdoulaye Wade, dès qu’on touche à son fils, il saute en l’air. Mais quand il était en train de comploter contre les fils des autres et qu’il les jette en prison à la veille des fetes religieuses, en ce moment-là, c’était normal. Mais maintenant qu’on parle de son fils, qui est le roi des prédateurs, qui est grand croix de l’ordre des voleurs, il faut que tout le Sénégal bouge. Le Sénégal ne bougera pas.
Jean-Paul Dias, vous voudriez bien prendre votre revanche sur Abdoulaye Wade et sa famille ?
Ce n’est pas une affaire de revanche. La revanche, je la laisse entre les mains de Dieu. Mais si on m’avait confié des rôles dans ce domaine-là, on ne serait pas là entrain de parler. Wade doit nous parler lui et ces gens-là, des 80 milliards qui ont été volés en Cote d’Ivoire dans des agences bancaires et qui ont été recyclés au Sénégal.