Les zones érogènes de l'homme
Classiquement, on dit que les zones sensibles de l'homme sont très localisées au niveau du pénis et de ses à-côtés (surtout le gland et les testicules), tandis qu'elles sont nettement plus diffuses et délocalisées chez la femme. C'est certainement vrai au début de la vie sexuelle masculine, mais plus du tout ensuite. Il faut en revenir au savoureux plaidoyer du sexologue Gérard Leleu sur l'homme et les caresses dans son« Traité du désir » (éd. Flammarion, 1997) : « L'homme aurait tendance à polariser toute sa sexualité sur la sensualité de sa verge. Cette difficulté de l'homme à érotiser l'ensemble de son corps est à mettre sur le compte du mythe de la virilité dont il est victime. Au nom de cette virilité, il est interdit d'être sensuel, raffiné, ému, troublé. [...] Alors pour se conformer à l'image du vrai mâle, l'homme croit bon d'escamoter les caresses et autres délicatesses pour tout bêtement "sauter" sur la femelle. [...] Qu'ils [les hommes] se décident enfin à exploiter cette mine d'or qu'est leur sensualité. Ils verront que non seulement leur bonheur s'élargira, mais qu'il deviendra quasi inépuisable. » Confirmé par les plus récentes découvertes sur la plasticité neuronale et l'étude du fonctionnement sexuel : le système nerveux associé au plaisir s'éduque tout au long de l'existence.
Les conseils pratiques pour exciter son homme
Les conseils de Brigitte Lahaie, ex-hardeuse, dans l'ouvrage qu'elle cosigne avec Frédéric Ploton, « So Sex » (Éditions du Seuil, 2006), peuvent s'avérer fort utiles : « C'est principalement la stimulation du pénis, et plus précisément du gland, qui amène l'homme au point de non-retour. D'autres caresses peuvent l'accompagner agréablement mais rien ne remplacera pour lui la sensation de son gland massé. C'est pourquoi les orifices susceptibles de l'envelopper
Classiquement, on dit que les zones sensibles de l'homme sont très localisées au niveau du pénis et de ses à-côtés (surtout le gland et les testicules), tandis qu'elles sont nettement plus diffuses et délocalisées chez la femme. C'est certainement vrai au début de la vie sexuelle masculine, mais plus du tout ensuite. Il faut en revenir au savoureux plaidoyer du sexologue Gérard Leleu sur l'homme et les caresses dans son« Traité du désir » (éd. Flammarion, 1997) : « L'homme aurait tendance à polariser toute sa sexualité sur la sensualité de sa verge. Cette difficulté de l'homme à érotiser l'ensemble de son corps est à mettre sur le compte du mythe de la virilité dont il est victime. Au nom de cette virilité, il est interdit d'être sensuel, raffiné, ému, troublé. [...] Alors pour se conformer à l'image du vrai mâle, l'homme croit bon d'escamoter les caresses et autres délicatesses pour tout bêtement "sauter" sur la femelle. [...] Qu'ils [les hommes] se décident enfin à exploiter cette mine d'or qu'est leur sensualité. Ils verront que non seulement leur bonheur s'élargira, mais qu'il deviendra quasi inépuisable. » Confirmé par les plus récentes découvertes sur la plasticité neuronale et l'étude du fonctionnement sexuel : le système nerveux associé au plaisir s'éduque tout au long de l'existence.
Les conseils pratiques pour exciter son homme
Les conseils de Brigitte Lahaie, ex-hardeuse, dans l'ouvrage qu'elle cosigne avec Frédéric Ploton, « So Sex » (Éditions du Seuil, 2006), peuvent s'avérer fort utiles : « C'est principalement la stimulation du pénis, et plus précisément du gland, qui amène l'homme au point de non-retour. D'autres caresses peuvent l'accompagner agréablement mais rien ne remplacera pour lui la sensation de son gland massé. C'est pourquoi les orifices susceptibles de l'envelopper