Réalisée à partir d’un panier moyen composé de biens de consommation et de services communément consommés par les expatriés, l’étude compare le niveau de prix dans plus de 400 villes et lieux du monde.
‘’Ces données sont utilisées par les professionnels des ressources humaines pour calculer les primes de coût de la vie qu’elles accordent à leurs expatriés. Le coût de la vie pour les expatriés varie en fonction de l’inflation, de la disponibilité des produits et des taux de change, tous ces facteurs pouvant avoir un impact significatif sur le niveau de ces primes. ‘’
Luanda la capitale d’Angola occupe la 2e place mondiale derrière Oslo, Norvège (1emondiale).
Sur cette base, il n’est pas inutile de préciser que Paris est moins chère que certaines villes d’Afrique comme Lagos au Nigeria, ou encore Juba au Soudan du Sud. Logiquement, le coût des produits de consommation courante importés dans l’Hexagone est plus faible qu’en Afrique.
L’étude permet aux multinationales qui envoient un salarié au pays de la Téranga de bien pouvoir mesurer le coût de l’expatriation. Depuis une décennie, les multinationales continuent de porter leur choix d’investissement au Sénégal. Les compagnies comme Cfao Technologies, Shell, Samsung, Cimenterie Dangote, Mccann-Erikson Sénégal etc. choisissent le Sénégal où le climat des affaires semble propice à la prospérité de ces sociétés internationales.
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