Joseph Blatter a été réélu, vendredi, à Zurich, pour un cinquième mandat à la tête de la Fédération internationale de football (FIFA) à l'issue du 65e congrès de l'institution. A 79 ans, le Suisse était opposé à un seul adversaire, le prince Ali Bin Hussein de Jordanie. Pour la première fois en cinq élections, il lui a manqué sept voix (133 contre 73) pour l'emporter dès le premier tour suivant la règle des deux-tiers. Mais son opposant s'est retiré avant le second tour.
M.Blatter a été reconduit pour un bail de quatre ans malgré le nouveau scandale de corruption qui frappe la FIFA depuis mercredi et les appels de l'Union européenne de football (UEFA) de son ancien ami Michel Platini ou du premier ministre britannique, David Cameron, à le faire battre.
Mais le Suisse a pu compter sur le soutien de cinq des six confédérations. « On me rend responsable de cette tourmente.
Je prends cette responsabilité, je l'assume », a assuré celui qui tire les ficelles de la FIFA depuis 1998. Avant le vote, Joseph Blatter avait demandé le soutien des 209 délégués « pour qu'à la fin de mon mandat je puisse donner une FIFA forte, une FIFA propre, une FIFA robuste, une FIFA belle ».
« Je souhaite rester avec vous, je souhaite continuer avec vous, c'est une question de confiance » avait conclu le patron du football mondial avant l'ouverture du scrutin. Il a été une fois de plus entendu. Et une fois de plus, après ce nouveau plébiscite, Joseph Blatter a promis de « prendre la responsabilité de la FIFA et de son redressement ». Sous une standing ovation d'une large majorité des délégués des 209 fédérations. Michel Platini, lui, est resté assis.
M.Blatter a été reconduit pour un bail de quatre ans malgré le nouveau scandale de corruption qui frappe la FIFA depuis mercredi et les appels de l'Union européenne de football (UEFA) de son ancien ami Michel Platini ou du premier ministre britannique, David Cameron, à le faire battre.
Mais le Suisse a pu compter sur le soutien de cinq des six confédérations. « On me rend responsable de cette tourmente.
Je prends cette responsabilité, je l'assume », a assuré celui qui tire les ficelles de la FIFA depuis 1998. Avant le vote, Joseph Blatter avait demandé le soutien des 209 délégués « pour qu'à la fin de mon mandat je puisse donner une FIFA forte, une FIFA propre, une FIFA robuste, une FIFA belle ».
« Je souhaite rester avec vous, je souhaite continuer avec vous, c'est une question de confiance » avait conclu le patron du football mondial avant l'ouverture du scrutin. Il a été une fois de plus entendu. Et une fois de plus, après ce nouveau plébiscite, Joseph Blatter a promis de « prendre la responsabilité de la FIFA et de son redressement ». Sous une standing ovation d'une large majorité des délégués des 209 fédérations. Michel Platini, lui, est resté assis.