Les intermédiaires dans la crise qui secoue le football sénégalais ont obtenu une victoire. Car, les principaux belligérants du conflit entre la Fédération sénégalaise de football (Fsf) et sa Commission centrale des arbitres (Cca), Me Augustin Senghor et Badara Mamaya Sène, ont accepté de se retrouver sur le terrain. Réunis par le ministre des Sports, Mbagnick Ndiaye, hier, au Building administratif, en présence Diagna Ndiaye (président du Cnoss) et de Saer Seck (président de la Ligue pro), les dirigeants ont enterré la hache de guerre.
«Nous avons pu réunir la famille du football. Nous avons eu des échanges, qui ont été extrêmement constructifs. Je tiens à remercier le ministre Mbagnick Ndiaye qui a accepté d’accueillir cette rencontre dans ses bureaux ainsi que le président Diagna Ndiaye, qui est la fédération des fédérations, le facilitateur et la partie garante de ces différents échanges», rapporte Saer Seck accompagné du président du Cnoss.
Sur le déroulement de cette rencontre de plus de deux heures, le porte-parole du jour confie : «Il faut dire également que les échanges se sont passés à notre grande satisfaction, dans un esprit de convivialité, vraiment dans une courtoisie qui nous a d’ailleurs surpris. Parce qu’en faisant une rencontre de cette nature on s’attend toujours à ce qu’il y ait certains aspects rudes. Les positions se sont beaucoup éclaircies. Un certain nombre d’incompréhensions ont été effectivement levées».
Certes, des avancées significatives ont été notées dans les négociations, mais il faudra attendre la signature de l’accord définitif pour rassurer les acteurs. «L’accord n’a pas encore été signé. Il manque un certain nombre de détails qui vont être directement gérés entre Badara Mamaya Sène et le président Augustin Senghor, qui vont se retrouver en tête à tête pour vous donner un accord. Il y a un certain nombre d’échanges, un certain d’intermédiaires qui ont en charge de ces détails. Dans les prochaines heures, M. Augustin Senghor, président de la fédération et Badara Mamaya Sène vont se retrouver en tête. Et derrière, avec le président Diagna Ndiaye, venir présenter l’accord», poursuit-il en plaidant pour la «pacification de l’environnement du football et que son déroulement, sur toute l’étendu du territoire, puisse reprendre dans les meilleures conditions possibles».
Comme tous les amoureux du ballon rond, le président de Diambars (Ligue 1) est d’avis qu’il faut «trouver des solutions et revenir vous dire les solutions qui ont été trouvées de manière à revenir à une situation que chacun d’entre nous a reconnue ne pas devoir exister». C’est pourquoi, il insiste sur l’urgence de «lever les incompréhensions qui ont présidé à cette situation, pouvoir revenir à une situation tout à fait normale et pacifiée».
Un tête-à-tête pour arrondir les angles
En outre, il salue la grandeur d’homme dont ont fait montre les principaux concernés dans cette crise du football. «On peut dire que l’ensemble des incompréhensions ont été levées. Je pense que la chose la plus difficile dans des incompréhensions, c’est que les interlocuteurs se parlent. Et les interlocuteurs se sont parlé et ils sont encore en train de se parler dans la salle. L’accord a été trouvé entre eux de se retrouver en tête à tête, en dehors de Diagna Ndiaye, en dehors de Saer Seck pour régler un certain nombre de détails», se réjouit le successeur de Louis Lamotte à la tête de la Ligue pro.
En acceptant cette démarche, les paries ont permis de «lever définitivement les incompréhensions et pour l’ensemble des questions de fond de trouver des solutions pour reprendre effectivement le cours normal de nos compétitions». Ce qui, forcément, débouche sur la conciliation des positions. A savoir la levée de la suspension frappant Mamaya Sène et Franky Guèye ainsi que le mot d’ordre de boycott des arbitres de l’Anafs.
«On ne peut pas parler de trouver des solutions sans que les sanctions effectivement ne se lèvent. Laissez-nous tranquillement avoir la sérénité de terminer le travail, dans les heures qui viennent, terminer ces échanges et surtout communiquer sur ce qui nous éloigne, surtout ce qui participe aux
incompréhensions», conclut Saer Seck avant de retrouver les autres participants à la rencontre.
«Nous avons pu réunir la famille du football. Nous avons eu des échanges, qui ont été extrêmement constructifs. Je tiens à remercier le ministre Mbagnick Ndiaye qui a accepté d’accueillir cette rencontre dans ses bureaux ainsi que le président Diagna Ndiaye, qui est la fédération des fédérations, le facilitateur et la partie garante de ces différents échanges», rapporte Saer Seck accompagné du président du Cnoss.
Sur le déroulement de cette rencontre de plus de deux heures, le porte-parole du jour confie : «Il faut dire également que les échanges se sont passés à notre grande satisfaction, dans un esprit de convivialité, vraiment dans une courtoisie qui nous a d’ailleurs surpris. Parce qu’en faisant une rencontre de cette nature on s’attend toujours à ce qu’il y ait certains aspects rudes. Les positions se sont beaucoup éclaircies. Un certain nombre d’incompréhensions ont été effectivement levées».
Certes, des avancées significatives ont été notées dans les négociations, mais il faudra attendre la signature de l’accord définitif pour rassurer les acteurs. «L’accord n’a pas encore été signé. Il manque un certain nombre de détails qui vont être directement gérés entre Badara Mamaya Sène et le président Augustin Senghor, qui vont se retrouver en tête à tête pour vous donner un accord. Il y a un certain nombre d’échanges, un certain d’intermédiaires qui ont en charge de ces détails. Dans les prochaines heures, M. Augustin Senghor, président de la fédération et Badara Mamaya Sène vont se retrouver en tête. Et derrière, avec le président Diagna Ndiaye, venir présenter l’accord», poursuit-il en plaidant pour la «pacification de l’environnement du football et que son déroulement, sur toute l’étendu du territoire, puisse reprendre dans les meilleures conditions possibles».
Comme tous les amoureux du ballon rond, le président de Diambars (Ligue 1) est d’avis qu’il faut «trouver des solutions et revenir vous dire les solutions qui ont été trouvées de manière à revenir à une situation que chacun d’entre nous a reconnue ne pas devoir exister». C’est pourquoi, il insiste sur l’urgence de «lever les incompréhensions qui ont présidé à cette situation, pouvoir revenir à une situation tout à fait normale et pacifiée».
Un tête-à-tête pour arrondir les angles
En outre, il salue la grandeur d’homme dont ont fait montre les principaux concernés dans cette crise du football. «On peut dire que l’ensemble des incompréhensions ont été levées. Je pense que la chose la plus difficile dans des incompréhensions, c’est que les interlocuteurs se parlent. Et les interlocuteurs se sont parlé et ils sont encore en train de se parler dans la salle. L’accord a été trouvé entre eux de se retrouver en tête à tête, en dehors de Diagna Ndiaye, en dehors de Saer Seck pour régler un certain nombre de détails», se réjouit le successeur de Louis Lamotte à la tête de la Ligue pro.
En acceptant cette démarche, les paries ont permis de «lever définitivement les incompréhensions et pour l’ensemble des questions de fond de trouver des solutions pour reprendre effectivement le cours normal de nos compétitions». Ce qui, forcément, débouche sur la conciliation des positions. A savoir la levée de la suspension frappant Mamaya Sène et Franky Guèye ainsi que le mot d’ordre de boycott des arbitres de l’Anafs.
«On ne peut pas parler de trouver des solutions sans que les sanctions effectivement ne se lèvent. Laissez-nous tranquillement avoir la sérénité de terminer le travail, dans les heures qui viennent, terminer ces échanges et surtout communiquer sur ce qui nous éloigne, surtout ce qui participe aux
incompréhensions», conclut Saer Seck avant de retrouver les autres participants à la rencontre.
Youssouph BADJI