Domptés par la réception, le 21 janvier dernier, des navires de dragage de la seconde phase du projet de Modernisation des infrastructures portuaires (Miep 2), les acteurs économiques de la commune de Foundiougne (Fatick) et celle de Kaolack s’engagent à appuyer le gouvernement du Sénégal sur le Programme de mise en œuvre d’un nouveau pôle portuaire. Débuté en premier lieu par la réalisation d’un terminal à hydrocarbures notamment au port de Ndakhonga (Foundiougne) et d’un port fluviomaritime dans la commune de Kaolack, ce projet augure aujourd’hui d’autres lendemains davantage prometteurs pour le gouvernement du Sénégal.
En effet, les nombreux acteurs économiques des deux communes s’apprêtent à le rentabiliser en développant (en commun), cette infrastructure capable de générer de nouvelles opportunités pour les deux régions et même celle de Kaffrine établie en pleine terre ferme. Soutenues par leurs administrations respectives, ce besoin a fait l’objet d’une récente rencontre d’échanges et de partages à la Chambre consulaire de Kaolack, dans le souci de matérialiser cette vision du président de la République. Convoquée par le président de la Chambre de commerce, d’industrie et agriculture de Kaolack de Kaolack (Cciak), Serigne Mboup, pour le compte des toutes premières activités liées à ce projet, cette rencontre avait pour but essentiel d’installer un Comité de suivi qui regroupe en son sein toutes les composantes du secteur privé, avec l’appui des services déconcentrés.
Une synergie saluée par le maire de la commune de Foundiougne, Babacar Diamé, qui trouve que l’implication des acteurs du secteur privé est une déterminante dans la mise en place d’une telle infrastructure dans le Centre du pays. Avec le programme de dragage, le tirant d’eau, sans doute évoluera. L’on pourrait passer d’une profondeur de 2,5 m à 6 m à une certaine hauteur du littoral et 11 m dans d’autres points; ce qui offrirait une possibilité de navigation aux gros porteurs.
Au-delà de ces ambitions à caractère technique, les opérateurs des régions concernées ont aussi saisi l’opportunité pour mettre sur pied, ensemble, un groupement d’opérateurs leaders afin de contribuer aux financements des infrastructures structurantes de la zone. Visiblement ce projet a débuté par l’installation d’un Comité de pilotage dont la mission, entre autres, consistera à faire participer ces entrepreneurs aux différents programmes d’intervention souvent confiés à des entreprises étrangères.
En effet, les nombreux acteurs économiques des deux communes s’apprêtent à le rentabiliser en développant (en commun), cette infrastructure capable de générer de nouvelles opportunités pour les deux régions et même celle de Kaffrine établie en pleine terre ferme. Soutenues par leurs administrations respectives, ce besoin a fait l’objet d’une récente rencontre d’échanges et de partages à la Chambre consulaire de Kaolack, dans le souci de matérialiser cette vision du président de la République. Convoquée par le président de la Chambre de commerce, d’industrie et agriculture de Kaolack de Kaolack (Cciak), Serigne Mboup, pour le compte des toutes premières activités liées à ce projet, cette rencontre avait pour but essentiel d’installer un Comité de suivi qui regroupe en son sein toutes les composantes du secteur privé, avec l’appui des services déconcentrés.
Une synergie saluée par le maire de la commune de Foundiougne, Babacar Diamé, qui trouve que l’implication des acteurs du secteur privé est une déterminante dans la mise en place d’une telle infrastructure dans le Centre du pays. Avec le programme de dragage, le tirant d’eau, sans doute évoluera. L’on pourrait passer d’une profondeur de 2,5 m à 6 m à une certaine hauteur du littoral et 11 m dans d’autres points; ce qui offrirait une possibilité de navigation aux gros porteurs.
Au-delà de ces ambitions à caractère technique, les opérateurs des régions concernées ont aussi saisi l’opportunité pour mettre sur pied, ensemble, un groupement d’opérateurs leaders afin de contribuer aux financements des infrastructures structurantes de la zone. Visiblement ce projet a débuté par l’installation d’un Comité de pilotage dont la mission, entre autres, consistera à faire participer ces entrepreneurs aux différents programmes d’intervention souvent confiés à des entreprises étrangères.