Après les mises en garde de la vice-présidente gambienne, place aux remontrances. Et c’est le député gambien Fabakary Tombong Jatta, en sa qualité de président de la majorité parlementaire qui s’illustre dans ce domaine. Il a accordé une interview au quotidien « The Observer » pour rappeler le Sénégal à l’ordre. « Le Sénégal doit respecter la souveraineté de la Gambie », dit le député à la solde de Jammeh. Et de poursuivre : « Laisser le gouvernement parler car aucune pression ne peut faire reculer la Gambie. Le Sénégal doit respecter nos lois ».
Comme pour tempérer, il dit : « Nous et le Sénégal sommes des frères, mais rappelle-t-il, deux Etats indépendants, donc aucun des deux n’a le doit de faire pression sur l’autre ». Lavant Jammeh et son régime à grande eau, Fabakary soutient : « Nous n’avons commis aucun crime ».
À l’en croire, la vie de ceux qui ont été épargnés n’est en rien supérieure à celle de ceux qui ont été tués. « Je pense qu’en ce qui concerne le Sénégal, certaines déclarations relèvent de la politique », diagnostique-t-il.
Le député gambien qui cherche par tous les moyens à légitimer la barbarie du président Jammeh soutient que des exécutions se font dans tous les pays. « Pourquoi, quand c’est la Gambie, tout le monde s’émeut ? », se demande-t-il tout en envoyant des flèches assassines aux organisations de défense des droits de l’Homme.
Comme pour tempérer, il dit : « Nous et le Sénégal sommes des frères, mais rappelle-t-il, deux Etats indépendants, donc aucun des deux n’a le doit de faire pression sur l’autre ». Lavant Jammeh et son régime à grande eau, Fabakary soutient : « Nous n’avons commis aucun crime ».
À l’en croire, la vie de ceux qui ont été épargnés n’est en rien supérieure à celle de ceux qui ont été tués. « Je pense qu’en ce qui concerne le Sénégal, certaines déclarations relèvent de la politique », diagnostique-t-il.
Le député gambien qui cherche par tous les moyens à légitimer la barbarie du président Jammeh soutient que des exécutions se font dans tous les pays. « Pourquoi, quand c’est la Gambie, tout le monde s’émeut ? », se demande-t-il tout en envoyant des flèches assassines aux organisations de défense des droits de l’Homme.