sexuel. C’est son « deuxième bureau », entendez sa maitresse qu’il a connue avant d’être quelqu’un et qu’il a voulu jeter à la corbeille après sa promotion qui le soumet à un tel supplice.
La fille a porté plainte à la Dic et a juré devant les limiers qu’elle et le Dg en question étaient mariés. Ce qui a mis la pression sur ce dernier qui, ne sachant plus à quel saint se vouer, s’est résigné.
Ainsi, le Dg qui trompait sa femme, doit désormais dégainer à chaque fois que son ancien second bureau le désire pour ne pas se retrouver à la Une des journaux.