L’information selon laquelle il aurait acquis une maison aux Almadies qu’il a payée à 700 millions a fait sortir Farba Ngom de ses gonds. Le griot attitré de Macky Sall a accordé à nos confrères de l’As un entretien dans lequel il démonte ses accusations, preuves à l’appui. « Je tiens d’abord à préciser que j’ai eu cette maison avant l’arrivée du président Macky Sall au pouvoir. C’est le 29 juillet 2011 que j’ai acquis ce bail numéro de TF 4236/NGA. En aoute 2011, j’ai obtenu l’autorisation de construire (N°1040/2011/DRUD/MC). Je l’ai construite en 8 mois et elle ne m’a pas couté 200 millions de FCFA », explique-t-il.
Pour ce qui est de l’inauguration dont l’article de la Tribune a fait état, le député apériste semble surpris d’apprendre qu’une maison peut faire l’objet d’une inauguration. « Personnellement, c’est la première fois de ma vie que j’entends parler d’inauguration de maison. Je connaissais des inaugurations d’hôpitaux, d’écoles et d’infrastructures publiques », fait-il remarquer.
Pour lui, ce sont des comploteurs, « jaloux » de sa situation, qui ont monté cette affaire pour le nuire. Mais à l’en croire, ils gagneraient plus à aider le chef de l’Etat à accomplir les missions pour lesquelles il a été porté au pouvoir. « Il ne sert à rien de dénigrer ses collaborateurs. S’ils veulent être proches de lui, ils n’ont qu’à bien travailler. je veux que ces gens-là sachent que je suis un grand combattant et je me laisse pas faire….», rappelle Farba Ngom.
Pour ce qui est de l’inauguration dont l’article de la Tribune a fait état, le député apériste semble surpris d’apprendre qu’une maison peut faire l’objet d’une inauguration. « Personnellement, c’est la première fois de ma vie que j’entends parler d’inauguration de maison. Je connaissais des inaugurations d’hôpitaux, d’écoles et d’infrastructures publiques », fait-il remarquer.
Pour lui, ce sont des comploteurs, « jaloux » de sa situation, qui ont monté cette affaire pour le nuire. Mais à l’en croire, ils gagneraient plus à aider le chef de l’Etat à accomplir les missions pour lesquelles il a été porté au pouvoir. « Il ne sert à rien de dénigrer ses collaborateurs. S’ils veulent être proches de lui, ils n’ont qu’à bien travailler. je veux que ces gens-là sachent que je suis un grand combattant et je me laisse pas faire….», rappelle Farba Ngom.