L’adjoint au gouverneur de la région de Fatick chargé du développement, Mor Fall, a plaidé, mercredi, pour une réflexion sur des solutions à la problématique des grossesses d’adolescentes, un fléau qui touche la santé et la sexualité des jeunes filles.
‘’Nous appelons les jeunes filles, les parents d’élèves, les enseignants, le corps médical, etc., à redoubler d’efforts pour faire reculer cette problématique’’, a lancé Mor Fall à l’ouverture d’un forum scientifique organisé en prélude à la Journée mondiale de la population (JMP) prévue jeudi à Fatick sur le thème : ’’Les grossesses d’adolescentes’’.
M. Fall a fait savoir que la grossesse des adolescentes ”est une problématique très importante”, son on sait que la population du Sénégal est composée à plus de 54% de jeunes dont 22% sont des filles en âge de procréer. ‘’Cela prouve l’importance de cette tranche d’âge concernée par le sujet des grossesses d’adolescentes’’, a-t-il dit.
Selon lui, ”le phénomène des grossesse d’adolescentes à Fatick est essentiellement lié à l’exode rural et la migration des jeunes filles qui se rendent dans d’autres capitales régionales pour y travailler comme domestiques et cela accentue le phénomène dans la région”.
‘’Toutefois, a-t-il précisé, il y a des ONG et d’autres acteurs qui font des efforts pour apporter des solutions et aider ces domestiques à s’organiser et prendre conscience de ce phénomène pour réduire ce taux qui est important au niveau de la région de Fatick’’.
De l’avis du représentant résident du Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP), Boureima Diadié, même les pays les plus développés sont confrontés à ce phénomène.
”Il s’agit de parvenir à prendre en charge correctement ces grossesses avec tout le service psychologique et l’assistance médicale requis”, a-t-il soutenu.
‘’Si on y parvient, il n’y aura pas de risque de mortalité qui suivent généralement ce type de grossesse, ou une très forte mortalité maternelle, voire de handicap comme la fistule’’, a expliqué le représentant résident du FNUAP.
Il a fait savoir que ”cela compromet non seulement la spéculation des cellules des adolescentes, mais aussi leur avenir et devient un problème pour la société et les familles”.
Pour Boureima Diadié, ”les informations qui seront partagées lors de ce forum scientifique permettront d’envisager des actions et des stratégies pour réduire ce phénomène qui pose un vrai problème aux autorités sénégalaises”.
Une série de manifestations est prévue cette année à Fatick et dans les autres régions du Sénégal pour célébrer la Journée mondiale de la population (JMP). Selon les organisateurs, l’accent est mis sur la situation difficile des adolescentes qui ne peuvent exercer leurs droits fondamentaux et accomplir leurs potentiels.
Pour eux, les conséquences des grossesses d’adolescentes se font sentir tout au long de la vie de ces jeunes filles. Elles se répercutent sur leurs enfants et les générations suivantes.
‘’Nous appelons les jeunes filles, les parents d’élèves, les enseignants, le corps médical, etc., à redoubler d’efforts pour faire reculer cette problématique’’, a lancé Mor Fall à l’ouverture d’un forum scientifique organisé en prélude à la Journée mondiale de la population (JMP) prévue jeudi à Fatick sur le thème : ’’Les grossesses d’adolescentes’’.
M. Fall a fait savoir que la grossesse des adolescentes ”est une problématique très importante”, son on sait que la population du Sénégal est composée à plus de 54% de jeunes dont 22% sont des filles en âge de procréer. ‘’Cela prouve l’importance de cette tranche d’âge concernée par le sujet des grossesses d’adolescentes’’, a-t-il dit.
Selon lui, ”le phénomène des grossesse d’adolescentes à Fatick est essentiellement lié à l’exode rural et la migration des jeunes filles qui se rendent dans d’autres capitales régionales pour y travailler comme domestiques et cela accentue le phénomène dans la région”.
‘’Toutefois, a-t-il précisé, il y a des ONG et d’autres acteurs qui font des efforts pour apporter des solutions et aider ces domestiques à s’organiser et prendre conscience de ce phénomène pour réduire ce taux qui est important au niveau de la région de Fatick’’.
De l’avis du représentant résident du Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP), Boureima Diadié, même les pays les plus développés sont confrontés à ce phénomène.
”Il s’agit de parvenir à prendre en charge correctement ces grossesses avec tout le service psychologique et l’assistance médicale requis”, a-t-il soutenu.
‘’Si on y parvient, il n’y aura pas de risque de mortalité qui suivent généralement ce type de grossesse, ou une très forte mortalité maternelle, voire de handicap comme la fistule’’, a expliqué le représentant résident du FNUAP.
Il a fait savoir que ”cela compromet non seulement la spéculation des cellules des adolescentes, mais aussi leur avenir et devient un problème pour la société et les familles”.
Pour Boureima Diadié, ”les informations qui seront partagées lors de ce forum scientifique permettront d’envisager des actions et des stratégies pour réduire ce phénomène qui pose un vrai problème aux autorités sénégalaises”.
Une série de manifestations est prévue cette année à Fatick et dans les autres régions du Sénégal pour célébrer la Journée mondiale de la population (JMP). Selon les organisateurs, l’accent est mis sur la situation difficile des adolescentes qui ne peuvent exercer leurs droits fondamentaux et accomplir leurs potentiels.
Pour eux, les conséquences des grossesses d’adolescentes se font sentir tout au long de la vie de ces jeunes filles. Elles se répercutent sur leurs enfants et les générations suivantes.