Chaque année ils remettent sur la table des autorités publiques les mêmes revendications sans vraiment obtenir gain de cause. Ils, ce sont les accidentés du travail. Comme tous les travailleurs ils ont, à leur manière, sacrifié à la tradition du premier mai en se donnant rendez-vous chez leur président Adama Thiam domicilié à Yeumbeul nord. C'est de la bas, loin du palais présidentiel qu'ils ont exposé leurs doléances à l'endroit du chef de l'Etat et des autorités compétentes.
Leur préoccupation majeure, n'est rien d'autre que la satisfaction des promesses tenues par les autorités à leur égard. Selon Mme Sall la présidente de la section féminine de l'Association Nationale des Accidentés du Travail et leur Ayant Droit ( ANATAD), " ce que nous souhaitons c'est plus de considération, nous avons des familles à nourrir et des enfants à scolariser. Toutes ces exigences nous posent d'énormes problèmes car nous manquons de moyens ".
À l'en croire" pour entrer dans nos fonds on nous fait trainer avec des papiers à n'en plus finir. Nous demandons au président de la République de nous facilité les choses". Intervenant dans la même veine M. Adama Thiam le président de l'ANATAD a quant à lui demandé au gouvernement de leur construire des loyers.
Cette revendication, l'une des plus vielle de l'association semble trouver cette fois-ci un écho favorable au près des autorités. A Saint-Louis par exemple le conseil régional a octroyé des parcelles aux accidentés de travail de ladite région a informé Ousseynou Diaw, le président de la coopérative d'habitat de l'ANATAD. M. Diaw qui se dit confiant quant à la suite, a également demandé aux autres conseils régionaux de faire de même.
Pour rappel, le nombre d'accidentés de travail au Sénégal s'élève à environ huit (08) mille personnes.
Leur préoccupation majeure, n'est rien d'autre que la satisfaction des promesses tenues par les autorités à leur égard. Selon Mme Sall la présidente de la section féminine de l'Association Nationale des Accidentés du Travail et leur Ayant Droit ( ANATAD), " ce que nous souhaitons c'est plus de considération, nous avons des familles à nourrir et des enfants à scolariser. Toutes ces exigences nous posent d'énormes problèmes car nous manquons de moyens ".
À l'en croire" pour entrer dans nos fonds on nous fait trainer avec des papiers à n'en plus finir. Nous demandons au président de la République de nous facilité les choses". Intervenant dans la même veine M. Adama Thiam le président de l'ANATAD a quant à lui demandé au gouvernement de leur construire des loyers.
Cette revendication, l'une des plus vielle de l'association semble trouver cette fois-ci un écho favorable au près des autorités. A Saint-Louis par exemple le conseil régional a octroyé des parcelles aux accidentés de travail de ladite région a informé Ousseynou Diaw, le président de la coopérative d'habitat de l'ANATAD. M. Diaw qui se dit confiant quant à la suite, a également demandé aux autres conseils régionaux de faire de même.
Pour rappel, le nombre d'accidentés de travail au Sénégal s'élève à environ huit (08) mille personnes.
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