Dix ans après cette tragédie survenue dans la nuit du 26 septembre 2002 au large des côtes gambiennes, ‘’il faut un véritable audit pour savoir si on a réglé les questions liées à la sécurité’’ du transport maritime et routier en général, a-t-il indiqué, dans un entretien avec l’APS.
‘’Je pense que la catastrophe du Joola doit nous amener à réfléchir sur la manière dont les populations se déplacent et sont transportées sur le territoire national’’, a déclaré Fodé Sylla, ancien député européen et ancien président de SOS Racisme, dont il dirige désormais la Fédération internationale.
Selon lui, de par sa position géographique, le Sénégal continue d’enregistrer les ‘’bienfaits de la mer’’. Mais, le pays est de la même manière au fait de malheurs qui lui sont venus par l’Océan.
Il a cité la Traite négrière et le naufrage du Joola, présenté comme la plus grande catastrophe de l’histoire de la navigation maritime. Selon un décompte officiel, 1.863 victimes ont été enregistrées dans cet accident, contre 64 rescapés.
‘’Beaucoup de catastrophes sont enregistrées sur la route’’ par exemple, a indiqué l’actuel vice-président du groupe AREVA en charge du développement durable, donnant l’exemple de l’axe Dakar-Tambacounda, la région orientale d’où il est originaire.
‘’J’ai peur si un parent doit voyager sur cet axe et je sais que chacun d’entre nous a la même appréhension’’, a souligné Fodé Syllla, selon qui, les citoyens sénégalais doivent être édifiés sur le fait de savoir si dix ans après le naufrage du Joola, le transport maritime et routier se fait ‘’dans une plus grande sécurité’’.
Dix ans après le naufrage du Joola’’, ‘’il faut écouter et continuer à écouter les victimes et leurs familles’’, a estimé l’activité des droits de l’homme, à l’origine d’un appel à la solidarité qui avait regroupé, dès l’annonce de ce drame, plusieurs vedettes françaises.
‘’Je ne fais pas de leçon. Je ne fais pas dans la surenchère. Je pense que les familles ont dit ce qu’elles avaient à dire. Je suis derrière les revendications des familles des victimes. J’ai beaucoup souffert (de ce drame), mais je ne peux pas souffrir plus qu’elles’’, a-t-il dit.
Des représentants des familles des victimes de cet accident réclament le renflouement du bateau, pour faciliter leur deuil, et la réouverture du dossier judiciaire lié à ce naufrage et classé sans suite sous l’ancien régime. D’autres revendiquent un mémorial dédié au bateau ‘’Le Joola’’.
‘’Je pense que la catastrophe du Joola doit nous amener à réfléchir sur la manière dont les populations se déplacent et sont transportées sur le territoire national’’, a déclaré Fodé Sylla, ancien député européen et ancien président de SOS Racisme, dont il dirige désormais la Fédération internationale.
Selon lui, de par sa position géographique, le Sénégal continue d’enregistrer les ‘’bienfaits de la mer’’. Mais, le pays est de la même manière au fait de malheurs qui lui sont venus par l’Océan.
Il a cité la Traite négrière et le naufrage du Joola, présenté comme la plus grande catastrophe de l’histoire de la navigation maritime. Selon un décompte officiel, 1.863 victimes ont été enregistrées dans cet accident, contre 64 rescapés.
‘’Beaucoup de catastrophes sont enregistrées sur la route’’ par exemple, a indiqué l’actuel vice-président du groupe AREVA en charge du développement durable, donnant l’exemple de l’axe Dakar-Tambacounda, la région orientale d’où il est originaire.
‘’J’ai peur si un parent doit voyager sur cet axe et je sais que chacun d’entre nous a la même appréhension’’, a souligné Fodé Syllla, selon qui, les citoyens sénégalais doivent être édifiés sur le fait de savoir si dix ans après le naufrage du Joola, le transport maritime et routier se fait ‘’dans une plus grande sécurité’’.
Dix ans après le naufrage du Joola’’, ‘’il faut écouter et continuer à écouter les victimes et leurs familles’’, a estimé l’activité des droits de l’homme, à l’origine d’un appel à la solidarité qui avait regroupé, dès l’annonce de ce drame, plusieurs vedettes françaises.
‘’Je ne fais pas de leçon. Je ne fais pas dans la surenchère. Je pense que les familles ont dit ce qu’elles avaient à dire. Je suis derrière les revendications des familles des victimes. J’ai beaucoup souffert (de ce drame), mais je ne peux pas souffrir plus qu’elles’’, a-t-il dit.
Des représentants des familles des victimes de cet accident réclament le renflouement du bateau, pour faciliter leur deuil, et la réouverture du dossier judiciaire lié à ce naufrage et classé sans suite sous l’ancien régime. D’autres revendiquent un mémorial dédié au bateau ‘’Le Joola’’.