Des jeunes du quartier Gouye-Gall de la commune de Guéoul ont érigé des barrages sur la Route nationale numéro deux (RN2) en direction de Saint-Louis pendant plus d’une heure, mardi, pour protester contre la modification du tracé de la route Guéoul-Saradawo, dans le département de Kébémer.
Sur la RN2, les restes de pneus calcinés et les blocs de pierre jonchant la chaussée témoignent du mouvement d’humeur de ces jeunes.
Le tracé initial de ce tronçon routier, parti de l’épicentre de Guéoul, a été dévié suivant une autre trajectoire, selon Meissa Ndiaye, chef du quartier Gouye-Gall, a regretté le mouvement d’humeur initié par ces jeunes protestataires ’’excités’’ par la décision de dévier le tracé initial de ce tronçon routier.
Le préfet de Kébémer Madiop Ka, mis au courant de ce mouvement d’humeur, est venu à la rencontre des protestataires en compagnie des responsables de la brigade de gendarmerie. Il les a invités à privilégier le dialogue avec les autorités sur cette question.
Selon lui, la procédure d’adjudication de cette route "n’est pas encore achevée et il n’est pas question de démarrer un quelconque chantier sans l’aval des autorités" publiques appelées à plancher sur ce dossier.
Les éléments de la brigade de Kébémer ont jalonné la RN2 pour la sécuriser avant de libérer la voie pour la circulation des véhicules.
Sur la RN2, les restes de pneus calcinés et les blocs de pierre jonchant la chaussée témoignent du mouvement d’humeur de ces jeunes.
Le tracé initial de ce tronçon routier, parti de l’épicentre de Guéoul, a été dévié suivant une autre trajectoire, selon Meissa Ndiaye, chef du quartier Gouye-Gall, a regretté le mouvement d’humeur initié par ces jeunes protestataires ’’excités’’ par la décision de dévier le tracé initial de ce tronçon routier.
Le préfet de Kébémer Madiop Ka, mis au courant de ce mouvement d’humeur, est venu à la rencontre des protestataires en compagnie des responsables de la brigade de gendarmerie. Il les a invités à privilégier le dialogue avec les autorités sur cette question.
Selon lui, la procédure d’adjudication de cette route "n’est pas encore achevée et il n’est pas question de démarrer un quelconque chantier sans l’aval des autorités" publiques appelées à plancher sur ce dossier.
Les éléments de la brigade de Kébémer ont jalonné la RN2 pour la sécuriser avant de libérer la voie pour la circulation des véhicules.