Gaston Mbengue reproche à la Fsf de l’avoir dédaigné pour l’organisation du match, qui a valu au Sénégal d’être sanctionné par une suspension, pour un an, du stade Léopold Sédar Senghor et d’être amendé à hauteur de 25 millions de FCfa, au profit de Sport Vision qu’il a « vomi ». Pour lui, le problème du Sénégal était lié au marketing. « On a été en Côte d’Ivoire, on a vu leur marketing. La loge était remplie de personnes. L’agent marketing les avait mis dans de bonnes conditions sans compter l’hébergement dans les hôtels, la nourriture. Une nation, une fédération, sans marketing, ne pourra jamais sortir l’Etat de ses difficultés financières. Si j’ai des visées pour le marketing de l’équipe nationale, c’est parce que j’ai des partenaires. J’avais fait des propositions, ils n’ont rien compris, les gens n’avaient rien compris. De toute façon, on verra, avec le Ndiambour de Louga, ce que Gaston est capable de faire » a-t-il dit.
Le promoteur de lutte semble tellement intéressé par le football qu’il avait fait une belle offre à la Fsf pour l’organisation du match Sénégal-Côte d’Ivoire afin de promouvoir l’équipe nationale mais les fédéraux ont refusé. « Dans l’avions présidentiel, au retour d’Abidjan, on nous bat là-bas par 4 à 2, l’équipe n’avait pas de promotion. J’ai pris le risque de leur demander, devant le ministre Malick Gackou, Augustin Senghor, Louis Lamotte, Mayacine, Karim Séga Diouf, Joseph Koto, qu’on me confie l’organisation du match Sénégal-Côte d’Ivoire. J’ai demandé qu’on me vende le match à 100 millions. Et qu’eux ne s’occupent que de l’équipe pour qu’on gagne. Il restait un mois. Ils ont pensé que si j’achète le match à 100 millions, je vais gagner 150 millions. Et ils ont refusé. Et heureusement le Bon Dieu a bien fait les choses. Parce que si c’était Gaston qui avait organisé le match, avec ces histoires, on aurait dit que c’est lui qui a créé ces problèmes » a confié le Don King de l’arène. Evoquant sa relation avec Sport Vision, il a reproché à la fédération d’avoir choisi les Blancs sans le consulter alors qu’il savait qu’ils ne pouvaient pas assurer.
Il poursuit : « Si un Toubab était là, il allait le faire. La preuve, Sport Vision, c’est moi qui l’ai fait venir au Sénégal. Dans la lutte je n’ai pas eu de satisfaction. La fédération qui cherchait un agent marketing a choisi Sport Vision sans me demander mon avis. Ils pouvaient me le dire par gentillesse et par correction. Ne serait-ce que me demander ce qui s’est passé entre moi et Sport Vision. Ils se cachaient. Et je savais que Sport Vision ne pouvait pas faire l’affaire. Pour la première fois, la lutte a engagé des toubabs. Si c’était bien, je n’allais pas les laisser. Ils sont allé prendre Sport Vision que j’ai vomi » a martelé Gaston Mbengue sans porter de gants.
Le promoteur de lutte semble tellement intéressé par le football qu’il avait fait une belle offre à la Fsf pour l’organisation du match Sénégal-Côte d’Ivoire afin de promouvoir l’équipe nationale mais les fédéraux ont refusé. « Dans l’avions présidentiel, au retour d’Abidjan, on nous bat là-bas par 4 à 2, l’équipe n’avait pas de promotion. J’ai pris le risque de leur demander, devant le ministre Malick Gackou, Augustin Senghor, Louis Lamotte, Mayacine, Karim Séga Diouf, Joseph Koto, qu’on me confie l’organisation du match Sénégal-Côte d’Ivoire. J’ai demandé qu’on me vende le match à 100 millions. Et qu’eux ne s’occupent que de l’équipe pour qu’on gagne. Il restait un mois. Ils ont pensé que si j’achète le match à 100 millions, je vais gagner 150 millions. Et ils ont refusé. Et heureusement le Bon Dieu a bien fait les choses. Parce que si c’était Gaston qui avait organisé le match, avec ces histoires, on aurait dit que c’est lui qui a créé ces problèmes » a confié le Don King de l’arène. Evoquant sa relation avec Sport Vision, il a reproché à la fédération d’avoir choisi les Blancs sans le consulter alors qu’il savait qu’ils ne pouvaient pas assurer.
Il poursuit : « Si un Toubab était là, il allait le faire. La preuve, Sport Vision, c’est moi qui l’ai fait venir au Sénégal. Dans la lutte je n’ai pas eu de satisfaction. La fédération qui cherchait un agent marketing a choisi Sport Vision sans me demander mon avis. Ils pouvaient me le dire par gentillesse et par correction. Ne serait-ce que me demander ce qui s’est passé entre moi et Sport Vision. Ils se cachaient. Et je savais que Sport Vision ne pouvait pas faire l’affaire. Pour la première fois, la lutte a engagé des toubabs. Si c’était bien, je n’allais pas les laisser. Ils sont allé prendre Sport Vision que j’ai vomi » a martelé Gaston Mbengue sans porter de gants.