Le professeur Sourang abattu par la gestion du COUD entre 2006-2010 apporte ses précisions. « En 2008, j’ai écrit une lettre adressée au Coud pour assumer ce qui a été fait. On avait ouvert trois universités : Ziguinchor, Bambey et Thiès. Les universités devaient ouvrir en début d’année ou l’année suivante et il fallait assurer leur démarrage, parce qu’on n’avait pas le temps d’en créer les services des œuvres universitaires… Le gouvernement avait alors retenu le principe du portage académique par l’Université de Dakar et le portage social du Coud. Sur cette base de décision, mon droit de gestion m’a permis d’adresser au directeur du Coud cette lettre de 2008, pour lui dire qu’en attendant que les services sociaux de ces trois universités fonctionnement. Prenez-les en charges moyennant accompagnement budgétaire. Donc, le principe général de la continuité de l’enseignement prime sur tout autre notion par rapport au fonctionnement du Coud. Même si La Cour des comptes a employé le mot ‘’illégal’’ », a fait savoir Moustapha Sourang.
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