Dans un communiqué paru dans la presse sénégalaise, le Port autonome de Dakar (PAD) a mis en cause l’article de Jeune Afrique intitulé « Finance : l’agence WARA dégrade la note du port de Dakar », publié sur le site internet le 15 février.
La cellule communication du PAD conteste « l’exploitation fallacieuse et tronquée » faite par le magazine de la dégradation de sa note.
Suite à la publication de ce communiqué du PAD, Jeune Afrique tient à apporter à ses lecteurs les éléments suivants.
Concernant le contrat d’assistance signé entre le Port de Dakar et le groupe G3S
Le rapport de l’agence WARA indique clairement le caractère “ambigu” du contrat d’assistance signé entre le Port de Dakar et le groupe G3S, qui accorde plusieurs avantages surprenants à ce dernier.
Extrait de la page 11 du rapport : “Wara estime que le conseil d’administration du PAD a autorisé un contrat de nature ambiguë entre le PAD et le groupe G3S, dans le cadre de l’assistance technique pour la sûreté des installations portuaires et la certification ISO 28000”.
Capture d’écran du rapport :
DR
Concernant la convention d’exploitation avec DP World
Dans son communiqué, le Port de Dakar écrit : « Jeune Afrique qualifie la convention d’exploitation avec DP World de risque contractuel non négligeable ».
Là encore, J.A. ne fait que citer la page 9 du rapport de WARA, qui est entre les mains du PAD : “WARA note cependant un risque contractuel non négligeable lié à la convention d’exploitation signée avec Dubaï Port World pour l’exploitation du terminal à conteneur.”
Wara cite expressément deux problématiques :
– le conflit ayant débouché sur la procédure d’arbitrage enclenchée par DPW contre l’État sénégalais
– les retards et difficultés enregistrés dans le financement du projet “Port du futur”.
Capture d’écran du rapport :
Tiré du rapport sur la notation du Port de Dakar.
Cet article n’a fait que reprendre le contenu d’un rapport élaboré par une agence indépendante dont le sérieux n’a pas été mis en cause. Jeune Afrique n’a en aucun cas pour objectif de « déstabiliser » le Sénégal comme le prétend le communiqué du Port de Dakar.
Avec Jeune Afrique
La cellule communication du PAD conteste « l’exploitation fallacieuse et tronquée » faite par le magazine de la dégradation de sa note.
Suite à la publication de ce communiqué du PAD, Jeune Afrique tient à apporter à ses lecteurs les éléments suivants.
Concernant le contrat d’assistance signé entre le Port de Dakar et le groupe G3S
Le rapport de l’agence WARA indique clairement le caractère “ambigu” du contrat d’assistance signé entre le Port de Dakar et le groupe G3S, qui accorde plusieurs avantages surprenants à ce dernier.
Extrait de la page 11 du rapport : “Wara estime que le conseil d’administration du PAD a autorisé un contrat de nature ambiguë entre le PAD et le groupe G3S, dans le cadre de l’assistance technique pour la sûreté des installations portuaires et la certification ISO 28000”.
Capture d’écran du rapport :
DR
Concernant la convention d’exploitation avec DP World
Dans son communiqué, le Port de Dakar écrit : « Jeune Afrique qualifie la convention d’exploitation avec DP World de risque contractuel non négligeable ».
Là encore, J.A. ne fait que citer la page 9 du rapport de WARA, qui est entre les mains du PAD : “WARA note cependant un risque contractuel non négligeable lié à la convention d’exploitation signée avec Dubaï Port World pour l’exploitation du terminal à conteneur.”
Wara cite expressément deux problématiques :
– le conflit ayant débouché sur la procédure d’arbitrage enclenchée par DPW contre l’État sénégalais
– les retards et difficultés enregistrés dans le financement du projet “Port du futur”.
Capture d’écran du rapport :
Tiré du rapport sur la notation du Port de Dakar.
Cet article n’a fait que reprendre le contenu d’un rapport élaboré par une agence indépendante dont le sérieux n’a pas été mis en cause. Jeune Afrique n’a en aucun cas pour objectif de « déstabiliser » le Sénégal comme le prétend le communiqué du Port de Dakar.
Avec Jeune Afrique