Les habitants de l’île de Gorée gardent encore les stigmates de la visite de l’ancien président des Etats-Unis, Georges W Bush en 2004. A tel enseigne que pour celle d’hier de l’actuel président américain Barack Obama, ils craignaient que le même sort leur soit réservé. Et pourtant, lit-on dans l’Observateur, rien ne laissait présager une telle proximité avec Barack Obama.
Car dans les ruelles de Gorée, le passage de Georges Bush en 2004 est encore sur toutes les lèvres. Ici, personne n’oublie cette mésaventure. Cette « humiliation ». Les habitants étaient « expulsés » de leurs maisons dès le matin pour être confinés dans un terrain de football où ils resteront jusqu’au soir. Du coup, Bush est venu et reparti sans que personne ne puisse même l’apercevoir.
Car dans les ruelles de Gorée, le passage de Georges Bush en 2004 est encore sur toutes les lèvres. Ici, personne n’oublie cette mésaventure. Cette « humiliation ». Les habitants étaient « expulsés » de leurs maisons dès le matin pour être confinés dans un terrain de football où ils resteront jusqu’au soir. Du coup, Bush est venu et reparti sans que personne ne puisse même l’apercevoir.