Diantre, qu’est ce qui a poussé Aly Sy, cet émigré de 58 ans résidant au quartier Grand Thiès de la cité du rail à se donner la mort dans sa chambre ? C’est la question qui revient sans cesse dans la tête de sa femme et de ses proches depuis qu’ils sont tombés sur l’innommable qu’est son suicide par pendaison.
Décrit comme un homme sans histoire, Aly Sy qui a, comme d’habitude consacré à la prière du petit matin, s’est ensuite enfermé dans sa chambre et n’en est pas sorti vivant. Quand son épouse a voulu lui apporter le petit-déjeuner, c’est un homme mort, accroché à un fil électrique qu’elle a vu.
Selon le quotidien l’As, les conclusions du médecin légiste ont confirmé la thèse du suicide par pendaison. Aly Sy a été inhumé hier au cimetière Madoki de Grand Thies et a emporté dans sa tombe le mobile de son acte.
Décrit comme un homme sans histoire, Aly Sy qui a, comme d’habitude consacré à la prière du petit matin, s’est ensuite enfermé dans sa chambre et n’en est pas sorti vivant. Quand son épouse a voulu lui apporter le petit-déjeuner, c’est un homme mort, accroché à un fil électrique qu’elle a vu.
Selon le quotidien l’As, les conclusions du médecin légiste ont confirmé la thèse du suicide par pendaison. Aly Sy a été inhumé hier au cimetière Madoki de Grand Thies et a emporté dans sa tombe le mobile de son acte.