En ces temps où tous les chemins mènent au Grand théâtre, l’équipe dirigée par Keyssi Bousso se frotte les mains et engrange annuellement pas moins de trois cent millions entre locations et rentrées diverses, liées à l’exploitation du cadre. Seulement, derrière ce tableau flatteur, se cache une véritable mafia autour de la programmation. En effet, c’est un secret de polichinelle de dire le favoritisme érigé en règle pour aider les artistes Hal Pulaar. Bien plus, concernant la cession des dates, la stratégie usitée pousse certains demandeurs à se rabattre sur d’autres cadres car incapables de débloquer les sommes demandées par le gestionnaire.
Notre source, au fait du trafic, explique que les dates phares coïncidant avec les fins de mois sont réservées à une clientèle, et il n’est pas rare qu'une fin de non recevoir vous soit livrée, parce que simplement la date ciblée est réservée à de plus prestigieux. Certains artistes se sont vus ainsi déprogrammés pour des motifs peu convaincants avant de voir leur date initiale refilée à un gros client. De quoi donner raison au bureau des droits d’auteur qui ne rate aucune occasion pour rentrer dans ses fonds, menaçant des fois d’annuler le spectacle pour les organisateurs qui rechignent à passer à la caisse.
Source: people.sn
Notre source, au fait du trafic, explique que les dates phares coïncidant avec les fins de mois sont réservées à une clientèle, et il n’est pas rare qu'une fin de non recevoir vous soit livrée, parce que simplement la date ciblée est réservée à de plus prestigieux. Certains artistes se sont vus ainsi déprogrammés pour des motifs peu convaincants avant de voir leur date initiale refilée à un gros client. De quoi donner raison au bureau des droits d’auteur qui ne rate aucune occasion pour rentrer dans ses fonds, menaçant des fois d’annuler le spectacle pour les organisateurs qui rechignent à passer à la caisse.
Source: people.sn