Elu il ya moins de deux(2) ans à la tête de la Magistrature Suprême du Sénégal, avec un score historique de 65%, le Président Macky Sall ne charme plus. Il ne fait plus rêver. Il est comme atteint d’une maladie appelée tout simplement : l’impéritie. Tant son incapacité à apporter des joints aux maux qui nous accablent reste flagrant, on dirait baobab au bon milieu du désert. Il s’est transformé, subitement, en traqueur- hâbleur- affameur - inaugurateur d’ouvrages d’autrui au lieu de s’évertuer à être ce sauveur-redresseur-bûcheur-bâtisseur de la cité nouvelle. Partout dans le pays, le bruit des regrets infeste l’atmosphère. Le navire « Sunugaal » s’empêtre dans le sable de la déche, du manque .Notre économie demeure paralytique, voire poussive.
Il n’est pas faux d’affirmer, aujourd’hui, que le Président Macky et son équipe trahissent profondément la cause du peuple. Ils sont même coupables de parjure car, toutes les promesses prises devant le peuple souverain sont abandonnées aux orties. Cet homme-là, bilahi, ne va pas faire l’affaire. Qu’il sache qu’ « Il est immoral de donner des promesses qu’on ne peut pas tenir ! ». Leur contact avec la réalité du pouvoir a suffisamment montré que ceux qui nous dirigent ne peuvent pas trouver la baguette magique pour pousser le Sénégal à la roue. Et la visite d’hier du Président de la République dans les zones inondées de la grande banlieue dakaroise (Pikine et Guédiawaye) en dit long. Conscientes des efforts petiots et vains consentis pour leur sortir de l’eau, les autorités étatiques ont anticipé sur une éventuelle inflation de la colère des sinistrés et voisins. A la place de solutions durables, de paroles berceuses, elles sont venues avec leur horde de bodyguards, de char de combat et autres « dragons » pour étouffer toute velléité de protestation. Voilà une attitude qui rappelle les temps forts d’hitlérisme. La mer, pardon, la mère des batailles, ce sera en 2017. Et traverser le gué de 2014 qui y mène risque de ne pas vous faire cadeau.
Il n’est pas faux d’affirmer, aujourd’hui, que le Président Macky et son équipe trahissent profondément la cause du peuple. Ils sont même coupables de parjure car, toutes les promesses prises devant le peuple souverain sont abandonnées aux orties. Cet homme-là, bilahi, ne va pas faire l’affaire. Qu’il sache qu’ « Il est immoral de donner des promesses qu’on ne peut pas tenir ! ». Leur contact avec la réalité du pouvoir a suffisamment montré que ceux qui nous dirigent ne peuvent pas trouver la baguette magique pour pousser le Sénégal à la roue. Et la visite d’hier du Président de la République dans les zones inondées de la grande banlieue dakaroise (Pikine et Guédiawaye) en dit long. Conscientes des efforts petiots et vains consentis pour leur sortir de l’eau, les autorités étatiques ont anticipé sur une éventuelle inflation de la colère des sinistrés et voisins. A la place de solutions durables, de paroles berceuses, elles sont venues avec leur horde de bodyguards, de char de combat et autres « dragons » pour étouffer toute velléité de protestation. Voilà une attitude qui rappelle les temps forts d’hitlérisme. La mer, pardon, la mère des batailles, ce sera en 2017. Et traverser le gué de 2014 qui y mène risque de ne pas vous faire cadeau.