certes ce ne sera pas du tout agréable à avaler mais personne n’aura besoin d’explications claires pour se rendre compte de cette évidence qui saute notamment à l’œil nu, surtout à Dakar, la Capitale, où des centaines de malades mentaux errent, balluchons en bandoulière, de l’Aéroport international Léopold Sédar Senghor à la mythique place de l’indépendance, aux devantures de la presque totalité de nos plus hautes institutions de la République dont le Conseil Economique, Social et Environnemental, l’Assemblée Nationale, la Présidence de la République où, depuis plusieurs années, une vielle dame malade mentale avait élu domicile. A l’intérieur du pays, partout dans les quatorze régions, au niveau de l’ensemble des villes, sans exception, également, dans la plupart de villages, même les plus reculés, on retrouve des malades mentaux, aussi bien au sein de nombreuses familles souffrant gravement en silence, que dans les rues, à travers les différents quartiers, avec le lot de conséquences, lourdes et inestimables sur la vie des populations. D’ailleurs, combien de fois l’Etat lui-même est victime de saccages de véhicules par cette catégorie de personnes ne jouissant pas de leurs facultés mentales, sans compter les nombreux cas d’agressions, parfois mortelles, perpétrées par ces dernières sur de paisibles citoyens malchanceux ?
Aujourd’hui, s’agissant des causes réelles de ce grave fait marquant qui, malheureusement, n’émeut guère l’actuel Président de la République, son Excellence Monsieur Macky SALL, lui-même affecté par ces terribles maladies de par ses proches, à l’image de la plupart des sénégalais, il faudra notamment souligner l’absence totale de Politique de Santé Mentale dans un pays disposant bel et bien, en bonne et due forme, d’une loi n° 75-80 du 09 juillet 1975, plus que jamais actuelle, relative au traitement des maladies mentales et au régime d’internement de certaines catégories d’aliénés. Mieux, c’est ici au Sénégal que beaucoup de Psychiatres africains ont été formés plus précisément à l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar, à la Faculté de Médecine alors que chez nous, l’on peut compter jusqu’ici du doigt, le nombre très insuffisant de services de prise en charge et de ces spécialistes, trop même en dessous des normes internationales, définies par l’Organisation mondiale de la santé (Oms). Il y a aussi les autres facteurs aggravants dont notamment la pauvreté, le chômage des jeunes, l’usage non règlementé de l’alcool et de la drogue, les accidents de la circulation, devenus très récurrents, le phénomène des inondations, le vieux conflit casamançais, la fermeture de grandes sociétés industrielles, par exemple, sans compter les conséquences néfastes, issues de simples annonces de certaines maladies graves telle que le SIDA ou encore le Diabète.
Tout cela, au vu et su des autorités, toutes sensibilités confondues, sans qu’elles n’interviennent une seule fois pour essayer d’y apporter des solutions idoines, si ce n’est que de s’en prendre très souvent au Président de l’unique Association Sénégalaise pour le Suivi et l’Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM), Ansoumana DIONE, traîné plusieurs fois à tort dans les Commissariats de Police, conduit même l’année dernière en prison, à la Maison d’Arrêt de Reubeus, à la chambre n°3, pour avoir voulu tout simplement conscientisé le Président Macky SALL à travers un sit-in solitaire, tenté devant le Palais de la République, par rapport aux difficiles conditions de vie de ces concitoyens. Pire, cette Association qui doit être maintenant reconnue d’utilité publique, est malheureusement considérée, depuis sa création, comme étant l’ennemi juré des autorités sanitaires qui refusent de s’occuper véritablement de ces genres de maladies dites non transmissibles, du fait seulement de leur faible prise en compte, au plan financier, par les Organisations relavant du Système des Nations Unies. Pour preuve, tout le monde est au courant de ce conflit qui nous oppose avec le Professeur Awa Marie Coll SECK sur la gestion de notre Centre de Kaolack, obtenu avec le régime du Président Abdoulaye WADE, sans oublier notre toute subvention de cinq cet mille franc que cet actuel Ministre de la Santé et de l’Action Sociale nous a refusée cette année, de façon injuste et arbitraire. D’ailleurs, en commençant par le Chef de l’Etat Macky SALL lui-même, aucune autorité ou autre responsable de ce pays, ne se soucie de nos difficiles conditions de travail, à part le Président du Mouvement des Entreprises du Sénégal (MEDS), Monsieur M’bagnick DIOP avec cet ordinateur portable qu’il nous a offert en présence des membres de cette prestigieuse Organisation socio-économique, le mercredi 19 mars 2014, à l’hôtel King FAHD Palace.
Donc, concrètement, au lieu s’attaquer directement à la résolution de ce grave fléau social comme le cherchent portant à le faire en vain depuis l’an 2000, cette Association Sénégalaise pour le Suivi et l’Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM) et son Président Ansoumana DIONE que le régime du Président Macky SALL tente d’anéantir tous leurs efforts, consentis dans ce sens, à cause tout simplement de l’importance de leurs réalisations en faveur de ces personnes extrêmement démunies. Mais, en vérité, tout cela ne dénote que de l’inconscience et de l’insouciance de leur part et c’est cela qui fait d’ailleurs qu’ils nous maltraitent dans le seul but de nous pousser à abandonner un noble combat, ce qui, heureusement ne sera jamais le cas. Présentement, à travers ce communiqué, nous ne faisons que vilipender ce grave fait marquant dans un pays dit de Téranga, en ce mois bénit de ramadan, destiné surtout aux couches vulnérables de nos populations par la religion musulmane, pour que les solutions que nous ne cessons de préconiser et qui sont déjà toutes consignées dans un document que nous avons transmis au Chef de l’Etat Macky SALL depuis le vendredi 16 août 2013, soient enfin appliquées pour le bonheur de tout le peuple sénégalais.
Ansoumana DIONE, Président de l’Association Sénégalaise pour le Suivi et l’Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM)
Aujourd’hui, s’agissant des causes réelles de ce grave fait marquant qui, malheureusement, n’émeut guère l’actuel Président de la République, son Excellence Monsieur Macky SALL, lui-même affecté par ces terribles maladies de par ses proches, à l’image de la plupart des sénégalais, il faudra notamment souligner l’absence totale de Politique de Santé Mentale dans un pays disposant bel et bien, en bonne et due forme, d’une loi n° 75-80 du 09 juillet 1975, plus que jamais actuelle, relative au traitement des maladies mentales et au régime d’internement de certaines catégories d’aliénés. Mieux, c’est ici au Sénégal que beaucoup de Psychiatres africains ont été formés plus précisément à l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar, à la Faculté de Médecine alors que chez nous, l’on peut compter jusqu’ici du doigt, le nombre très insuffisant de services de prise en charge et de ces spécialistes, trop même en dessous des normes internationales, définies par l’Organisation mondiale de la santé (Oms). Il y a aussi les autres facteurs aggravants dont notamment la pauvreté, le chômage des jeunes, l’usage non règlementé de l’alcool et de la drogue, les accidents de la circulation, devenus très récurrents, le phénomène des inondations, le vieux conflit casamançais, la fermeture de grandes sociétés industrielles, par exemple, sans compter les conséquences néfastes, issues de simples annonces de certaines maladies graves telle que le SIDA ou encore le Diabète.
Tout cela, au vu et su des autorités, toutes sensibilités confondues, sans qu’elles n’interviennent une seule fois pour essayer d’y apporter des solutions idoines, si ce n’est que de s’en prendre très souvent au Président de l’unique Association Sénégalaise pour le Suivi et l’Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM), Ansoumana DIONE, traîné plusieurs fois à tort dans les Commissariats de Police, conduit même l’année dernière en prison, à la Maison d’Arrêt de Reubeus, à la chambre n°3, pour avoir voulu tout simplement conscientisé le Président Macky SALL à travers un sit-in solitaire, tenté devant le Palais de la République, par rapport aux difficiles conditions de vie de ces concitoyens. Pire, cette Association qui doit être maintenant reconnue d’utilité publique, est malheureusement considérée, depuis sa création, comme étant l’ennemi juré des autorités sanitaires qui refusent de s’occuper véritablement de ces genres de maladies dites non transmissibles, du fait seulement de leur faible prise en compte, au plan financier, par les Organisations relavant du Système des Nations Unies. Pour preuve, tout le monde est au courant de ce conflit qui nous oppose avec le Professeur Awa Marie Coll SECK sur la gestion de notre Centre de Kaolack, obtenu avec le régime du Président Abdoulaye WADE, sans oublier notre toute subvention de cinq cet mille franc que cet actuel Ministre de la Santé et de l’Action Sociale nous a refusée cette année, de façon injuste et arbitraire. D’ailleurs, en commençant par le Chef de l’Etat Macky SALL lui-même, aucune autorité ou autre responsable de ce pays, ne se soucie de nos difficiles conditions de travail, à part le Président du Mouvement des Entreprises du Sénégal (MEDS), Monsieur M’bagnick DIOP avec cet ordinateur portable qu’il nous a offert en présence des membres de cette prestigieuse Organisation socio-économique, le mercredi 19 mars 2014, à l’hôtel King FAHD Palace.
Donc, concrètement, au lieu s’attaquer directement à la résolution de ce grave fléau social comme le cherchent portant à le faire en vain depuis l’an 2000, cette Association Sénégalaise pour le Suivi et l’Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM) et son Président Ansoumana DIONE que le régime du Président Macky SALL tente d’anéantir tous leurs efforts, consentis dans ce sens, à cause tout simplement de l’importance de leurs réalisations en faveur de ces personnes extrêmement démunies. Mais, en vérité, tout cela ne dénote que de l’inconscience et de l’insouciance de leur part et c’est cela qui fait d’ailleurs qu’ils nous maltraitent dans le seul but de nous pousser à abandonner un noble combat, ce qui, heureusement ne sera jamais le cas. Présentement, à travers ce communiqué, nous ne faisons que vilipender ce grave fait marquant dans un pays dit de Téranga, en ce mois bénit de ramadan, destiné surtout aux couches vulnérables de nos populations par la religion musulmane, pour que les solutions que nous ne cessons de préconiser et qui sont déjà toutes consignées dans un document que nous avons transmis au Chef de l’Etat Macky SALL depuis le vendredi 16 août 2013, soient enfin appliquées pour le bonheur de tout le peuple sénégalais.
Ansoumana DIONE, Président de l’Association Sénégalaise pour le Suivi et l’Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM)