L’école sénégalaise traverse une crise aigue à cause des grèves cycliques des enseignants et des élèves aussi bien dans l’élémentaire que dans le Moyen secondaire. Face à ces perturbations, les fêtes de pâques et de la jeunesse sont anticipées. Ce mercredi jour du marché hebdomadaire de Diaobè, ce sont des centaines de potaches et d’enseignants qui avaient leurs sacs en bandoulière dans les gares routières à la recherche d’un véhicule pour rejoindre leur domicile. Alors que la date des vacances était prévue pour le 23 mars et ce jusqu’au 08 avril les enfants qui en avaient mare d’attendre des enseignants grévistes ont préféré anticiper sur les fêtes afin de vaquer à d’autres distractions favorites.
Lundi dernier, en début de semaine, dans toute la circonscription éducative de Vélingara, tous les enfants étaient jetés dehors et même le mardi aucun maitre craie en main, dans l’élémentaire n’a songé à ouvrir sa classe. Le mot d’ordre lancé par le Cadre Unitaire des Syndicats d’Enseignants (CUSE) a été largement suivi dans les différents établissements. Ces éducateurs exigent entre autres revendications la validation des années de volontariat et de contractualisation, les actes de reclassement, la baise des taxes sur les impôts.
Le SELS local a demandé à ses syndicalistes de fermer les classes en attendant qu’une concertation sérieuse ait lieu entre le Gouvernement et les syndicats d’enseignants. Sinon ils sont prêts à passer à la vitesse supérieure pour que l’Etat enfin honore ces engagements. Quant au SAEMS CUSEMS, qui court toujours derrière les indemnités du Bac et du Bfem, les grèves sont multiples allant de débrayage en grève totale et des sitting devant L’IEF de Kolda pour qu’ils puissent enfin rentrer dans leurs fonds.
Mais toujours est-il qu’aucune réaction positive à leurs doléances n’a été satisfaite. Débordés par la situation, beaucoup de professeurs ont fini par jeter l’éponge. Et à quelques 03 jours du démarrage des vacances, ils n’en peuvent plus et ont préféré plier leurs bagages et s’en aller. Seuls quelques uns tiennent le bon bout et dispensent des cours aux infimes élèves qui rodent encore dans les collèges et lycées.
Pour exprimer leur indignation et leur courroux, ils ont juste procédé à des débrayages à partir de 9 heures, laissant les potaches dans l’inquiétude totale. Le Secrétaire général local du SAEMS, Baldé Abdoulaye et ses camarades disent niet dans les classes. Si le Directoire National les autorise à jeter l’éponge parce qu’ils revendiquent leurs légitimes droits .Comment se fait il que, a-t-il martelé que d’autres IA parviennent à rentrer dans leurs fonds et que dans la région de Kolda, l’on traine toujours les pieds ? Il y a anguille sous roche clame t il. Nous espérions, poursuit il que la tournée du Ministre de L’éducation dans la capitale du Fouladou allait changer les données. Mais toujours est-il que L’Inspecteur D’Académie n’a pas décanté la situation. Ils étaient optimistes que des décisions seraient prises pour permettre aux élèves de continuer paisiblement les cours. Etant donné que les autorités administratives et académiques n’ont pas réagi à leurs doléances les maitres craie en main, las d’attendre des promesses qui tardent à être matérialisées comptent passer à la vitesse supérieure c'est-à-dire faire une rétention des notes, à l’heure de la composition du 1er semestre et poursuivre la lutte. Les camarades de Coumba Sébor du Cusems eux aussi veulent réparer une injustice qui à leurs yeux est intolérable. Jamais ils n’imaginaient qu’en allant en profondeur et tous les risques que cela comportent pour surveiller ou corriger des copies d’élèves que la situation allait tirer en longueur. Si aucune satisfaction n’est apportée à nos sous, nous refuserons tout bonnement de dispenser des cours aux potaches. C’est notre ultime force de bataille. Mais nous espérons que le chef hiérarchique trouvera la clé de la crise scolaire qui secoue véritablement élèves et parents. Ces derniers comme Bora Diallo, demande à ce qu’un terrain d’entente soit trouvé le plus tôt possible pour sauver l’année scolaire 2012 / 2013. Sinon les enfants vont bientôt réagir et ce serait la catastrophe.
Selon des sources affirme t il ils menacent d’aller en grève si leurs professeurs n’arrêtent pas de les jeter dans la rue. Les fêtes de pâques qui pointent à l’horizon risquent d’être anticipées par les potaches qui disent avoir payé des pots qu’ils n’ont pas cassés. A chaque année, ils sont victimes d’un quantum horaire grignoté par des grèves et des débrayages. Le programme est toujours inachevé et ce sont des lacunes qu’ils sont entrain d’emmagasinées a lancé un président d’un gouvernement scolaire, Mama samba Mballo. Si jamais avoue t il que l’éducation est bafouée, nous continuerons toujours à vivre sous la coupole des Intellectuels d’ailleurs et dans une ignorance totale de tout ce qui se passera dans ce monde a lancé un parent d’éléve, Demba Baldé. Seulement a ti conclu nos fils sont appelés à être instruits aussi bien que dans le Public ou dans le Privé. Même si les frais d’études sont couteux cela vaut le coup.
Lundi dernier, en début de semaine, dans toute la circonscription éducative de Vélingara, tous les enfants étaient jetés dehors et même le mardi aucun maitre craie en main, dans l’élémentaire n’a songé à ouvrir sa classe. Le mot d’ordre lancé par le Cadre Unitaire des Syndicats d’Enseignants (CUSE) a été largement suivi dans les différents établissements. Ces éducateurs exigent entre autres revendications la validation des années de volontariat et de contractualisation, les actes de reclassement, la baise des taxes sur les impôts.
Le SELS local a demandé à ses syndicalistes de fermer les classes en attendant qu’une concertation sérieuse ait lieu entre le Gouvernement et les syndicats d’enseignants. Sinon ils sont prêts à passer à la vitesse supérieure pour que l’Etat enfin honore ces engagements. Quant au SAEMS CUSEMS, qui court toujours derrière les indemnités du Bac et du Bfem, les grèves sont multiples allant de débrayage en grève totale et des sitting devant L’IEF de Kolda pour qu’ils puissent enfin rentrer dans leurs fonds.
Mais toujours est-il qu’aucune réaction positive à leurs doléances n’a été satisfaite. Débordés par la situation, beaucoup de professeurs ont fini par jeter l’éponge. Et à quelques 03 jours du démarrage des vacances, ils n’en peuvent plus et ont préféré plier leurs bagages et s’en aller. Seuls quelques uns tiennent le bon bout et dispensent des cours aux infimes élèves qui rodent encore dans les collèges et lycées.
Pour exprimer leur indignation et leur courroux, ils ont juste procédé à des débrayages à partir de 9 heures, laissant les potaches dans l’inquiétude totale. Le Secrétaire général local du SAEMS, Baldé Abdoulaye et ses camarades disent niet dans les classes. Si le Directoire National les autorise à jeter l’éponge parce qu’ils revendiquent leurs légitimes droits .Comment se fait il que, a-t-il martelé que d’autres IA parviennent à rentrer dans leurs fonds et que dans la région de Kolda, l’on traine toujours les pieds ? Il y a anguille sous roche clame t il. Nous espérions, poursuit il que la tournée du Ministre de L’éducation dans la capitale du Fouladou allait changer les données. Mais toujours est-il que L’Inspecteur D’Académie n’a pas décanté la situation. Ils étaient optimistes que des décisions seraient prises pour permettre aux élèves de continuer paisiblement les cours. Etant donné que les autorités administratives et académiques n’ont pas réagi à leurs doléances les maitres craie en main, las d’attendre des promesses qui tardent à être matérialisées comptent passer à la vitesse supérieure c'est-à-dire faire une rétention des notes, à l’heure de la composition du 1er semestre et poursuivre la lutte. Les camarades de Coumba Sébor du Cusems eux aussi veulent réparer une injustice qui à leurs yeux est intolérable. Jamais ils n’imaginaient qu’en allant en profondeur et tous les risques que cela comportent pour surveiller ou corriger des copies d’élèves que la situation allait tirer en longueur. Si aucune satisfaction n’est apportée à nos sous, nous refuserons tout bonnement de dispenser des cours aux potaches. C’est notre ultime force de bataille. Mais nous espérons que le chef hiérarchique trouvera la clé de la crise scolaire qui secoue véritablement élèves et parents. Ces derniers comme Bora Diallo, demande à ce qu’un terrain d’entente soit trouvé le plus tôt possible pour sauver l’année scolaire 2012 / 2013. Sinon les enfants vont bientôt réagir et ce serait la catastrophe.
Selon des sources affirme t il ils menacent d’aller en grève si leurs professeurs n’arrêtent pas de les jeter dans la rue. Les fêtes de pâques qui pointent à l’horizon risquent d’être anticipées par les potaches qui disent avoir payé des pots qu’ils n’ont pas cassés. A chaque année, ils sont victimes d’un quantum horaire grignoté par des grèves et des débrayages. Le programme est toujours inachevé et ce sont des lacunes qu’ils sont entrain d’emmagasinées a lancé un président d’un gouvernement scolaire, Mama samba Mballo. Si jamais avoue t il que l’éducation est bafouée, nous continuerons toujours à vivre sous la coupole des Intellectuels d’ailleurs et dans une ignorance totale de tout ce qui se passera dans ce monde a lancé un parent d’éléve, Demba Baldé. Seulement a ti conclu nos fils sont appelés à être instruits aussi bien que dans le Public ou dans le Privé. Même si les frais d’études sont couteux cela vaut le coup.