Faisant la sourde oreille, le directeur de l’Ajeb risque de voir le ciel lui tomber dessus. Les travailleurs de cette boîte réclament des arrières de salaires depuis trois mois et 20 jours. Du côté du staff, on envisage se débarrasser de ceux qui ont un CDI. « Les travailleurs ont peur de rouspéter sous peine d’être virés. La plupart sont de père de famille ou de soutiens de famille. On vit des moments très sombres. Certains n’arrivent plus même pas à assurer la dépense quotidienne », souffle un agent dans l’ As repris par setal.net