Comme au Mali, la cedeao tente toujours de rétablir l’ordre constitutionnel en Guinée Bissau
Selon un communiqué de la cedeao en date du lundi 30 avril, l’institution a clairement annoncé que la junte militaire « ne souhaite pas négocier » et en conséquence précise, affichant ainsi sa fermeté à l’égard des militaires « le rejet de la position du groupe de contact signifie l’imposition des sanctions diplomatiques, économiques et financières ».
Raison du blocage du camp du général Antonio Indjai, chef des putschiste, la position de la cedeao pour réinstaller Raimundo Perreira, libéré suite aux engagements pris par la junte suite à un ultimatum de 72 heures décrété au sommet de la cedeao à Abidjan (voir article koaci.com) jeudi dernier, à son poste de président par intérim. En effet, selon nos informations, la junte exclu tout retour au schéma d’avant le coup d’Etat.
Raimundo Perreira, le président intérimaire renversé et Carlos Gomes Junior, l’ex premier ministre, arrêtés au moment du putch et détenus jusqu’à leur libération le vendredi dernier, ont trouvé refuge à Abidjan en Côte d’Ivoire.
La teneur des sanctions devrait être connu lors d’un nouveau sommet des chefs d’état du groupe de contact se tiendra ce jeudi 3 mai à Banjul.
Selon un communiqué de la cedeao en date du lundi 30 avril, l’institution a clairement annoncé que la junte militaire « ne souhaite pas négocier » et en conséquence précise, affichant ainsi sa fermeté à l’égard des militaires « le rejet de la position du groupe de contact signifie l’imposition des sanctions diplomatiques, économiques et financières ».
Raison du blocage du camp du général Antonio Indjai, chef des putschiste, la position de la cedeao pour réinstaller Raimundo Perreira, libéré suite aux engagements pris par la junte suite à un ultimatum de 72 heures décrété au sommet de la cedeao à Abidjan (voir article koaci.com) jeudi dernier, à son poste de président par intérim. En effet, selon nos informations, la junte exclu tout retour au schéma d’avant le coup d’Etat.
Raimundo Perreira, le président intérimaire renversé et Carlos Gomes Junior, l’ex premier ministre, arrêtés au moment du putch et détenus jusqu’à leur libération le vendredi dernier, ont trouvé refuge à Abidjan en Côte d’Ivoire.
La teneur des sanctions devrait être connu lors d’un nouveau sommet des chefs d’état du groupe de contact se tiendra ce jeudi 3 mai à Banjul.