Depuis quelques temps nos amis du PDS ont adopté une stratégie de communication et de défense consistant à envahir les médias, prêter des propos et des intentions fallacieuses aux autorités étatiques et construire leur défense là-dessus.
Tenteraient-ils de faire de la subversion qu’ils ne s’y prendraient pas autrement. Ils sont entrain de développer des stratégies et techniques visant à divertir les autorités judiciaires, déstabiliser le pays et installer un chaos qui exigerait des négociations politiques.
De simples agitations et contestations dans le but de politiser les dossiers strictement judiciaires épinglant leur gestion catastrophique du pays, leurs agissements sont entrain de migrer vers la remise en cause des fondements idéologiques de l’Etat de droit et si on n’y prend pas garde, ils iront jusqu’au sabotage d'institutions de la République en vue d’installer un climat de crise et exiger des négociations politiques qui leur permettraient de garantir leur impunité. Leur méthode s’appuie sur l'intox, l'injection du doute, la destruction des valeurs, la culpabilisation afin de faire perdre au peuple sa conviction de la justice de sa cause.
N’oublions pas que leur principal porte étendard est un ancien idéologue du trotskisme (suivez mon regard). Leur modus opérandus très connu consiste à affaiblir le pouvoir et démoraliser les citoyens en se fondant sur la connaissance des lois de la psychologie et de la psychosociologie des masses. Il consiste à camoufler la vérité dans des flots d'informations, une dialectique complexe pour infiltrer des informations biaisées, trompeuses, aussi saugrenues les unes que les autres mais qui paraissent authentiques. Elle est d'autant plus efficace qu'elle prend appui sur les médias, friands en sensationnel et qui ont toutes les apparences de la bonne foi et de l’objectivité.
Ils ont comme stratège en chef, grand dramaturge et metteur en scène, un vieux roublard, qui maîtrise toutes les techniques, stratégies et mécanismes de subversion et qui a la particularité de ne lésiner sur aucun moyen, quel qu’il soit; l’essentiel étant seulement pour lui d’assouvir ses pulsions et d’atteindre ses objectifs.
De la désinformation à la diversion en passant par les intimidations, les calomnies, menaces et bluffs, aucune pratique n’est pour lui immorale, abjecte ou répréhensible, peu importent les moyens utilisés pourvu qu’ils lui permettent d’arriver à ses fins. La primauté de sa famille nucléaire sur la patrie est pour lui un sacerdoce, un viatique, un principe directeur, un postulat qui sous-tend toutes ses actions et réflexions. En douze années de règne, on ne l’a jamais vu au chevet de victimes, le seraient-elles en défendant la Nation (ex de militaires blessés au front) mais le jour où l’immeuble où était perché son fils avait « pris feu », il s’était déplacé et à pied, s’il vous plait, accompagné de tout ce que la République compte comme autorités pour aller le soutenir devant les caméras.
C’est cet homme qui n'accorde de l'importance qu'à ses désirs et à sa famille, grand nihiliste au sens philosophique du terme c’est-à-dire qui a la manie de tout fouler à ses pieds, toute hiérarchie des valeurs, toute morale, toute croyance et toute transcendance, qui, telle une bête blessée, tente dans un dernier sursaut de se relever pour défendre sa famille au sens restreint et premier du terme.
La manœuvre ne passera pas. Notre vaillant peuple, ayant compris les manoeuvres de cet homme, a fini de le démasquer et donc décidé de ne plus se laisser faire. Il s’est fermement résolu de prendre les choses en main et devenir ainsi maître de son destin. Convaincu qu'en prenant conscience des lois naturelles qui déterminent l’évolution des sociétés et qui sont indépendantes de la volonté des hommes, il pouvait agir en accélérant ou en retardant la marche de son histoire. Il (notre peuple) a ainsi entamé une mutation irréversible dans ses rapports avec ses dirigeants, n’en déplaise aux pourfendeurs de l’ordre républicain, de la démocratie, de la justice et donc, du véritable développement.
Exigence sociale
L’obligation de rendre compte, qui est le devoir incombant à toute personne physique ou morale responsable d'une tâche de répondre des résultats et du choix des moyens mis à sa disposition, est devenue une des exigences fortes du peuple vis-à-vis de ceux à qui il délègue le pouvoir de gérer ses biens et de décider à sa place. Si pendant longtemps, pour ne pas dire depuis toujours, ce devoir de rendre compte a été noyé dans des considérations partisanes et claniques, il en est autrement aujourd’hui du fait de l’avènement de dirigeants de type nouveau, d’un niveau de conscience populaire élevé, d’une société civile forte et crédible, d’organisations de jeunes et de femmes qui s’érigent en sentinelles de la démocratie et du développement. Sans occulter toutes les difficultés, les errements, tâtonnements et questionnements, tant théoriques que pratiques qui s’opposent à la jonction de tous ces mouvements et à leur unité d’action, il est à noter que ceux-ci parviennent, même en ordre dispersé, à jouer leur partition pour le respect des principes directeurs qui prévalent dans la gouvernance des affaires publiques ; le 23 juin est là pour nous en administrer une preuve si besoin en était.
Tous les patriotes, démocrates sincères et hommes épris de justice, doivent se lever comme un seul homme pour exiger que justice soit faite dans la stricte rigueur, pour que ces hommes répondent de leurs actes. Il est inadmissible que des gens se lèvent, tout simplement parce qu’on leur demande de rendre compte, pour tenter de semer le désordre dans un pays qu’ils ont fini de piller éhontément dans la plus grande arrogance et le mépris du vaillant peuple. Je n’ai entendu aucun d’entre eux dire « je suis blanc comme neige », leur leitmotiv est « nous ne sommes pas les seuls à devoir rendre compte », qu’à cela ne tienne ! Mais ils oublient tous que même si ce qu’ils prétendent était vrai, c’est un principe sacrosaint qu’une injustice ne pouvait aucunement donner droit à une autre injustice. La vérification qu’ils réclament tant de la gestion du Président Macky dans les différentes stations auxquelles leur mentor l’avait placé, leur incombait. Pour qui les connait, c’est évident que pendant trois ans, quand la liquidation politique de cet homme constituait leur préoccupation essentielle, ils ont fouillé partout dans cette gestion. Aujourd’hui, force est de constater que de deux choses l’une : soit ils n’ont rien trouvé de répréhensible parce qu’il y’en n’avait pas (ce qui est le plus probable au vu de la valeur des corps de contrôle que nous avons), soit ils ont été nuls dans leur contrôle. L’un dans l’autre le résultat est là, irréfutable : ils ont déjà implicitement délivré un quitus de bonne gouvernance et de transparence à la gestion de celui qu’ils vouent aux gémonies aujourd’hui.
Nos alliés
Je ne saurais terminer sans souligner pour m’en offusquer avec la dernière énergie, l’attitude inqualifiable de nos alliés qui brillent par leur mutisme qui ferait croire qu’ils sont entrain de rire lâchement sous cap. Manifestement et incontestablement ils nous sont mariés pour le meilleur mais pas pour le pire. La défunte CAP21 à toujours constitué un bouclier pour le président Wade et son gouvernement, ses leaders ont toujours stoïquement occupé la ligne de front. Nos alliés eux brillent par leur éloquent et bruyant silence préférant se terrer et observer ; c’est à croire qu’ils souhaitent notre perte pour espérer voir se réaliser leur unique rêve, celui d’occuper le fauteuil présidentiel.
A nous de nous lever, tous unis pour constituer un bouclier autour de notre courageuse et vaillant Ministre de la Justice et de notre Premier Ministre pour défendre stoïquement les valeurs qui ont motivé notre adhésion au Yonnu Yokkuté.
Mor Ndiaye Mbaye
Membre de la CCR/APR
Blog : www.majalis.org/blogs/morfattah
Tenteraient-ils de faire de la subversion qu’ils ne s’y prendraient pas autrement. Ils sont entrain de développer des stratégies et techniques visant à divertir les autorités judiciaires, déstabiliser le pays et installer un chaos qui exigerait des négociations politiques.
De simples agitations et contestations dans le but de politiser les dossiers strictement judiciaires épinglant leur gestion catastrophique du pays, leurs agissements sont entrain de migrer vers la remise en cause des fondements idéologiques de l’Etat de droit et si on n’y prend pas garde, ils iront jusqu’au sabotage d'institutions de la République en vue d’installer un climat de crise et exiger des négociations politiques qui leur permettraient de garantir leur impunité. Leur méthode s’appuie sur l'intox, l'injection du doute, la destruction des valeurs, la culpabilisation afin de faire perdre au peuple sa conviction de la justice de sa cause.
N’oublions pas que leur principal porte étendard est un ancien idéologue du trotskisme (suivez mon regard). Leur modus opérandus très connu consiste à affaiblir le pouvoir et démoraliser les citoyens en se fondant sur la connaissance des lois de la psychologie et de la psychosociologie des masses. Il consiste à camoufler la vérité dans des flots d'informations, une dialectique complexe pour infiltrer des informations biaisées, trompeuses, aussi saugrenues les unes que les autres mais qui paraissent authentiques. Elle est d'autant plus efficace qu'elle prend appui sur les médias, friands en sensationnel et qui ont toutes les apparences de la bonne foi et de l’objectivité.
Ils ont comme stratège en chef, grand dramaturge et metteur en scène, un vieux roublard, qui maîtrise toutes les techniques, stratégies et mécanismes de subversion et qui a la particularité de ne lésiner sur aucun moyen, quel qu’il soit; l’essentiel étant seulement pour lui d’assouvir ses pulsions et d’atteindre ses objectifs.
De la désinformation à la diversion en passant par les intimidations, les calomnies, menaces et bluffs, aucune pratique n’est pour lui immorale, abjecte ou répréhensible, peu importent les moyens utilisés pourvu qu’ils lui permettent d’arriver à ses fins. La primauté de sa famille nucléaire sur la patrie est pour lui un sacerdoce, un viatique, un principe directeur, un postulat qui sous-tend toutes ses actions et réflexions. En douze années de règne, on ne l’a jamais vu au chevet de victimes, le seraient-elles en défendant la Nation (ex de militaires blessés au front) mais le jour où l’immeuble où était perché son fils avait « pris feu », il s’était déplacé et à pied, s’il vous plait, accompagné de tout ce que la République compte comme autorités pour aller le soutenir devant les caméras.
C’est cet homme qui n'accorde de l'importance qu'à ses désirs et à sa famille, grand nihiliste au sens philosophique du terme c’est-à-dire qui a la manie de tout fouler à ses pieds, toute hiérarchie des valeurs, toute morale, toute croyance et toute transcendance, qui, telle une bête blessée, tente dans un dernier sursaut de se relever pour défendre sa famille au sens restreint et premier du terme.
La manœuvre ne passera pas. Notre vaillant peuple, ayant compris les manoeuvres de cet homme, a fini de le démasquer et donc décidé de ne plus se laisser faire. Il s’est fermement résolu de prendre les choses en main et devenir ainsi maître de son destin. Convaincu qu'en prenant conscience des lois naturelles qui déterminent l’évolution des sociétés et qui sont indépendantes de la volonté des hommes, il pouvait agir en accélérant ou en retardant la marche de son histoire. Il (notre peuple) a ainsi entamé une mutation irréversible dans ses rapports avec ses dirigeants, n’en déplaise aux pourfendeurs de l’ordre républicain, de la démocratie, de la justice et donc, du véritable développement.
Exigence sociale
L’obligation de rendre compte, qui est le devoir incombant à toute personne physique ou morale responsable d'une tâche de répondre des résultats et du choix des moyens mis à sa disposition, est devenue une des exigences fortes du peuple vis-à-vis de ceux à qui il délègue le pouvoir de gérer ses biens et de décider à sa place. Si pendant longtemps, pour ne pas dire depuis toujours, ce devoir de rendre compte a été noyé dans des considérations partisanes et claniques, il en est autrement aujourd’hui du fait de l’avènement de dirigeants de type nouveau, d’un niveau de conscience populaire élevé, d’une société civile forte et crédible, d’organisations de jeunes et de femmes qui s’érigent en sentinelles de la démocratie et du développement. Sans occulter toutes les difficultés, les errements, tâtonnements et questionnements, tant théoriques que pratiques qui s’opposent à la jonction de tous ces mouvements et à leur unité d’action, il est à noter que ceux-ci parviennent, même en ordre dispersé, à jouer leur partition pour le respect des principes directeurs qui prévalent dans la gouvernance des affaires publiques ; le 23 juin est là pour nous en administrer une preuve si besoin en était.
Tous les patriotes, démocrates sincères et hommes épris de justice, doivent se lever comme un seul homme pour exiger que justice soit faite dans la stricte rigueur, pour que ces hommes répondent de leurs actes. Il est inadmissible que des gens se lèvent, tout simplement parce qu’on leur demande de rendre compte, pour tenter de semer le désordre dans un pays qu’ils ont fini de piller éhontément dans la plus grande arrogance et le mépris du vaillant peuple. Je n’ai entendu aucun d’entre eux dire « je suis blanc comme neige », leur leitmotiv est « nous ne sommes pas les seuls à devoir rendre compte », qu’à cela ne tienne ! Mais ils oublient tous que même si ce qu’ils prétendent était vrai, c’est un principe sacrosaint qu’une injustice ne pouvait aucunement donner droit à une autre injustice. La vérification qu’ils réclament tant de la gestion du Président Macky dans les différentes stations auxquelles leur mentor l’avait placé, leur incombait. Pour qui les connait, c’est évident que pendant trois ans, quand la liquidation politique de cet homme constituait leur préoccupation essentielle, ils ont fouillé partout dans cette gestion. Aujourd’hui, force est de constater que de deux choses l’une : soit ils n’ont rien trouvé de répréhensible parce qu’il y’en n’avait pas (ce qui est le plus probable au vu de la valeur des corps de contrôle que nous avons), soit ils ont été nuls dans leur contrôle. L’un dans l’autre le résultat est là, irréfutable : ils ont déjà implicitement délivré un quitus de bonne gouvernance et de transparence à la gestion de celui qu’ils vouent aux gémonies aujourd’hui.
Nos alliés
Je ne saurais terminer sans souligner pour m’en offusquer avec la dernière énergie, l’attitude inqualifiable de nos alliés qui brillent par leur mutisme qui ferait croire qu’ils sont entrain de rire lâchement sous cap. Manifestement et incontestablement ils nous sont mariés pour le meilleur mais pas pour le pire. La défunte CAP21 à toujours constitué un bouclier pour le président Wade et son gouvernement, ses leaders ont toujours stoïquement occupé la ligne de front. Nos alliés eux brillent par leur éloquent et bruyant silence préférant se terrer et observer ; c’est à croire qu’ils souhaitent notre perte pour espérer voir se réaliser leur unique rêve, celui d’occuper le fauteuil présidentiel.
A nous de nous lever, tous unis pour constituer un bouclier autour de notre courageuse et vaillant Ministre de la Justice et de notre Premier Ministre pour défendre stoïquement les valeurs qui ont motivé notre adhésion au Yonnu Yokkuté.
Mor Ndiaye Mbaye
Membre de la CCR/APR
Blog : www.majalis.org/blogs/morfattah