Dans son exposé, Ibra Diouf Noikobaye est largement revenu sur les origines de la criose économique et financiére mondiale : « La situation économique dans le monde suscite des craintes. Avoir un emploi ne permet pas d’étre à l’abri de la pauvreté.D’ou le concept nouvau de « le travailleur pauvre. Nous sommes entrain de subir les avatars du libéralisme sauvage.Il est inacceptable que l’Afrique représente un petit poucet du commerce mondial avec un volume de 1, 7%», a-t-il argué.
Parlant du système éducatif sénégalais, M. Diouf de faire remarque : « Il est temps de mener une réflexion globalisante pour redynamiser l’école qui, malgré l’allocation de40% de notre budget, reste confrontée à une crise majeure. Je profite de l’occasion à nos gouvernants de mettre davantage l’accent sur la science et les techniques.On ne saurait développer un pays en les négligeants.La place des sciences dans notre système éducatif est un véritable problème et, il urge de réquilibrer ce déséquilibre ».
Le secrétaire général de la CDTS a invité, au finish les différents syndicats de l’enseignement à brisé leur mouvement pour éviter le spectre d’une année blanche.
Ibrahima NGOM