La sortie au vitriol de l'ancien N°2 du parti Rewmi, Déthié Fall n'est vraiment pas du goût du leader du parti Rewmi, Idrissa Seck. Surtout que la sanction n'a pas tardé venant de son mentor. Qui a tenu une réunion avec le secrétariat national élargi aux coordonnateurs départementaux pour destituer sans tambour ni trompette son numéro 2 qui lui a envoyé un message pour s'excuser de son absence.
Une réunion au cours de laquelle, le leader du parti Rewmi a montré son amertume, sans citer nommément son ex poulain (Déthié Fall) qu'il vient de destituer. "Quand je quittais la coalition BBY en 2013 suite à ce qui s'est passé, je savais que je pouvais perdre deux ministres que j'avais fait nommer au gouvernement et cela ne m'a pas arrêté. Parmi eux pourtant, un ami très proche dont le fils aîné est mon homonyme et l'une des filles est l'homonyme de ma femme (Omar Guèye). Si je l'ai fait à l'époque, c'est par principe. Vous comprendrez fort aisément que perdre un député ne sera pas un problème pour moi", avertit-il.
Et de poursuivre son argumentaire : "Il y a quelqu'un à qui j'ai parlé deux fois en lui disant que son absence dans la sélection des gens qui devaient aller au gouvernement était une décision réfléchie. Il m'a avoué que sous la pression de certains de ses proches, il a quand même mal vécu ma décision. Je comprends que ses proches ne voient que lui et s'occupent que de son intérêt à lui. Et ne connaissent pas tous les autres ayants droit du parti qui sont plus anciens dans mon sillage que le monsieur en question", continue-t-il d'expliquer au Cybercampus face à la séance.
Il ajoute : "tant que tu ne seras pas guéri complément, émotionnellement de cette difficulté abstiens-toi de parler, parce que si tu parles forcément l'émotion vécue transparaîtra", lance-t-il à Déthié Fall à qui il conseille : "attends, attends, attends que le temps fasse son œuvre. Apaise, apaise, apaise tes proches..."
Bref, en d'autres termes, le leader du Parti Rewmi, semble décidé à cheminer qu'avec ceux qui respectent son choix de travailler avec le Président Macky Sall. Surtout qu'à l'entendre parler, il entend bien resserrer les rangs dans son parti pour l'amener à jouer le rôle qui lui sied dans l'attelage gouvernemental.
Une réunion au cours de laquelle, le leader du parti Rewmi a montré son amertume, sans citer nommément son ex poulain (Déthié Fall) qu'il vient de destituer. "Quand je quittais la coalition BBY en 2013 suite à ce qui s'est passé, je savais que je pouvais perdre deux ministres que j'avais fait nommer au gouvernement et cela ne m'a pas arrêté. Parmi eux pourtant, un ami très proche dont le fils aîné est mon homonyme et l'une des filles est l'homonyme de ma femme (Omar Guèye). Si je l'ai fait à l'époque, c'est par principe. Vous comprendrez fort aisément que perdre un député ne sera pas un problème pour moi", avertit-il.
Et de poursuivre son argumentaire : "Il y a quelqu'un à qui j'ai parlé deux fois en lui disant que son absence dans la sélection des gens qui devaient aller au gouvernement était une décision réfléchie. Il m'a avoué que sous la pression de certains de ses proches, il a quand même mal vécu ma décision. Je comprends que ses proches ne voient que lui et s'occupent que de son intérêt à lui. Et ne connaissent pas tous les autres ayants droit du parti qui sont plus anciens dans mon sillage que le monsieur en question", continue-t-il d'expliquer au Cybercampus face à la séance.
Il ajoute : "tant que tu ne seras pas guéri complément, émotionnellement de cette difficulté abstiens-toi de parler, parce que si tu parles forcément l'émotion vécue transparaîtra", lance-t-il à Déthié Fall à qui il conseille : "attends, attends, attends que le temps fasse son œuvre. Apaise, apaise, apaise tes proches..."
Bref, en d'autres termes, le leader du Parti Rewmi, semble décidé à cheminer qu'avec ceux qui respectent son choix de travailler avec le Président Macky Sall. Surtout qu'à l'entendre parler, il entend bien resserrer les rangs dans son parti pour l'amener à jouer le rôle qui lui sied dans l'attelage gouvernemental.