Idrissa Seck se croit-il en un Saint pierre libérateur ?
On se rappelle de son fameux « ancien spermatozoïde et futur cadavre » !
Idrissa Seck est –il devenu un cadavre politique !
Beaucoup de sénégalais se disent idy koumou yape !
Mais peut – on dialoguer avec des morts !
Non à la profanation de notre Dialogue National !
Idy a-t-il oublié que nous sommes « Un peuple, nous avons Un But et Nous sommes de Bonne Foi » et la mauvaise Foi n’a pas sa place dans ce Dialogue.
La présidentielle de 2012 a tenu la société en haleine, forcée du coup de retenir son souffle .IL était impossible de rater une seule miette de cette mauvaise ambiance politique, à moins de vivre dans sa chambre, les yeux et les oreilles fermés en permanence. La politique guettait nos moindres mouvements pour nous prendre d’assaut.
Le 25 mars 2012 marque la fin de l’hégémonie du Parti démocratique sénégalais. Une situation qui n’était que la suite d’un effondrement continu de ses suffrages à partir des locales de 2009. Parmi les raisons de la chute de l’ex- parti au pouvoir, on retiendra aussi la déliquescence des réseaux de soutien, l’affaiblissement du parti dominant du fait de scissions incessantes, l’échec économique et social, le mode de gestion clientéliste, gabégique et l’action de l’opposition.
Le dialogue n’est pas une invention moderne. À travers l’histoire et dans la plupart des sociétés, le fait de rassembler des personnes pour les aider à surmonter leurs différences et à résoudre leurs problèmes a toujours été une mission prestigieuse, généralement confiée à des individus expérimentés, à des anciens ou à des personnes respectées pour la qualité de leur jugement et leur sagesse. Certains éléments de « méthodologie du dialogue » ont été et sont encore employés dans les sociétés traditionnelles et s’appuient sur des procédures et coutumes ancestrales (par exemple, les jirgas, les shuras et les conseils de village).
Leur validité est d’ailleurs reconnue dans les processus de justice de transition, de gestion des conflits et de réconciliation.
Le dialogue entre partis politiques est toutefois, et pour des raisons évidentes, un concept plus récent puisqu’il concerne des entités relativement nouvelles. Néanmoins, dans de nombreuses
Sociétés, le dialogue entre partis politiques est fondé sur des concepts de dialogue plus anciens, décrits plus haut.
Malgré l’existence de traditions similaires, il n’existe pas de définition précise de ce qui constitue un dialogue entre partis politiques. Dans son acception la plus large, ce terme recouvre tout dialogue se déroulant entre des partis politiques. Il s’effectue généralement dans le cadre d’espaces existants, parmi lesquels les parlements nationaux et locaux, les commissions parlementaires et les groupes parlementaires.
Ceci étant dit, des mécanismes de dialogue entre partis politiques peuvent également être mis spécialement en place afin de proposer aux partis politiques un espace protégé leur permettant de communiquer ouvertement, de résoudre les conflits, de poser les bases d’une coopération et de travailler ensemble sur des mesures de réforme politique et des problématiques électorales ou spécifiques aux Partis .
Cette interprétation du terme « mécanismes de dialogue entre partis politiques » suppose généralement une modalité plus formalisée et institutionnalisée de dialogue, souvent facilité ou appuyé par des intervenants impartiaux, extérieurs aux partis politiques.
D’autres termes ont une signification similaire à celui de « dialogue entre partis politiques » :« dialogue démocratique », « dialogue multi acteurs », « dialogue politique » ou encore « dialogue entre partis ». Les différents types de mécanisme de dialogue ont de nombreux points communs en matière de processus, de procédures, de structures ou de règles à suivre concernant des principes et valeurs tels que l’impartialité et le principe d’inclusivité.
Parallèlement, le dialogue entre partis politiques fait spécifiquement référence à un dialogue se déroulant avant tout entre des partis politiques, alors que les autres formes de dialogue peuvent concerner d’autres acteurs. La principale caractéristique qui différencie le dialogue entre partis politiques des autres formes de dialogue est donc le type de participants concernés. Cette différence a de nombreuses incidences sur la structure, le contenu et les retombées de ce type de dialogue. En fonction des organisations, le dialogue entre partis politiques pourra être identifié par des appellations différentes.
Cet impératif demande la mobilisation de toutes les forces patriotiques autour de cet objectif, une prise de conscience individuelle et collective sur le rôle et la responsabilité de chacun dans la marche de notre pays vers le progrès et le bien-être et la nécessaire mobilisation de tous pour faire de cette seconde alternance une véritable alternative aux services de la transformation sociale et économique.
Mamadou Lamine Guèye.
Jeune Responsable Politique APR Diourbel.
Chargé de communication de l’APR Diourbe
On se rappelle de son fameux « ancien spermatozoïde et futur cadavre » !
Idrissa Seck est –il devenu un cadavre politique !
Beaucoup de sénégalais se disent idy koumou yape !
Mais peut – on dialoguer avec des morts !
Non à la profanation de notre Dialogue National !
Idy a-t-il oublié que nous sommes « Un peuple, nous avons Un But et Nous sommes de Bonne Foi » et la mauvaise Foi n’a pas sa place dans ce Dialogue.
La présidentielle de 2012 a tenu la société en haleine, forcée du coup de retenir son souffle .IL était impossible de rater une seule miette de cette mauvaise ambiance politique, à moins de vivre dans sa chambre, les yeux et les oreilles fermés en permanence. La politique guettait nos moindres mouvements pour nous prendre d’assaut.
Le 25 mars 2012 marque la fin de l’hégémonie du Parti démocratique sénégalais. Une situation qui n’était que la suite d’un effondrement continu de ses suffrages à partir des locales de 2009. Parmi les raisons de la chute de l’ex- parti au pouvoir, on retiendra aussi la déliquescence des réseaux de soutien, l’affaiblissement du parti dominant du fait de scissions incessantes, l’échec économique et social, le mode de gestion clientéliste, gabégique et l’action de l’opposition.
Le dialogue n’est pas une invention moderne. À travers l’histoire et dans la plupart des sociétés, le fait de rassembler des personnes pour les aider à surmonter leurs différences et à résoudre leurs problèmes a toujours été une mission prestigieuse, généralement confiée à des individus expérimentés, à des anciens ou à des personnes respectées pour la qualité de leur jugement et leur sagesse. Certains éléments de « méthodologie du dialogue » ont été et sont encore employés dans les sociétés traditionnelles et s’appuient sur des procédures et coutumes ancestrales (par exemple, les jirgas, les shuras et les conseils de village).
Leur validité est d’ailleurs reconnue dans les processus de justice de transition, de gestion des conflits et de réconciliation.
Le dialogue entre partis politiques est toutefois, et pour des raisons évidentes, un concept plus récent puisqu’il concerne des entités relativement nouvelles. Néanmoins, dans de nombreuses
Sociétés, le dialogue entre partis politiques est fondé sur des concepts de dialogue plus anciens, décrits plus haut.
Malgré l’existence de traditions similaires, il n’existe pas de définition précise de ce qui constitue un dialogue entre partis politiques. Dans son acception la plus large, ce terme recouvre tout dialogue se déroulant entre des partis politiques. Il s’effectue généralement dans le cadre d’espaces existants, parmi lesquels les parlements nationaux et locaux, les commissions parlementaires et les groupes parlementaires.
Ceci étant dit, des mécanismes de dialogue entre partis politiques peuvent également être mis spécialement en place afin de proposer aux partis politiques un espace protégé leur permettant de communiquer ouvertement, de résoudre les conflits, de poser les bases d’une coopération et de travailler ensemble sur des mesures de réforme politique et des problématiques électorales ou spécifiques aux Partis .
Cette interprétation du terme « mécanismes de dialogue entre partis politiques » suppose généralement une modalité plus formalisée et institutionnalisée de dialogue, souvent facilité ou appuyé par des intervenants impartiaux, extérieurs aux partis politiques.
D’autres termes ont une signification similaire à celui de « dialogue entre partis politiques » :« dialogue démocratique », « dialogue multi acteurs », « dialogue politique » ou encore « dialogue entre partis ». Les différents types de mécanisme de dialogue ont de nombreux points communs en matière de processus, de procédures, de structures ou de règles à suivre concernant des principes et valeurs tels que l’impartialité et le principe d’inclusivité.
Parallèlement, le dialogue entre partis politiques fait spécifiquement référence à un dialogue se déroulant avant tout entre des partis politiques, alors que les autres formes de dialogue peuvent concerner d’autres acteurs. La principale caractéristique qui différencie le dialogue entre partis politiques des autres formes de dialogue est donc le type de participants concernés. Cette différence a de nombreuses incidences sur la structure, le contenu et les retombées de ce type de dialogue. En fonction des organisations, le dialogue entre partis politiques pourra être identifié par des appellations différentes.
- Oui pour un Dialogue National.
Cet impératif demande la mobilisation de toutes les forces patriotiques autour de cet objectif, une prise de conscience individuelle et collective sur le rôle et la responsabilité de chacun dans la marche de notre pays vers le progrès et le bien-être et la nécessaire mobilisation de tous pour faire de cette seconde alternance une véritable alternative aux services de la transformation sociale et économique.
Mamadou Lamine Guèye.
Jeune Responsable Politique APR Diourbel.
Chargé de communication de l’APR Diourbe