À Nietty-Mbar, un enseignant fait de ses élèves des objets sexuels. Une de ses victimes témoigne dans les colonnes du Quotidien. « Un jour je suis allée à son cours d’encadrement vers 15 heures. Quand je suis allé pour le saluer, il m’a attirée à lui et m’a installée sur son corps. Là-dessus il s’est mis à m’embrasser de façon frénétique. J’ai tenté de résister, mais je ne pouvais pas résister à l’épreuve de force. Comme je continuais à m’opposer, il s’est mis à m’insulter en me menaçant de me corriger au début du cours. Il a une natte qui se trouve toujours dans un coin de la salle. Il m’oblige à me coucher sur la natte et enlève mon pantalon et mon slip. Ensuite, il enlève son pantalon et commence à frotter son sexe contre le mien. Quand je me mets à pleurer, il continue de frotter en me menaçant toujours. Quand il a fini de jouir, il me laisse partir sans même essuyer le sperme qu’il y a sur moi. Quand le cours commence, il nous donne quatre opérations difficiles. S’il nous arrive de fausser l’une d’elles, il nous frappe sur les fesses en même temps qu’il nous les caresse », révèle-t-elle.