"Le taux de prise en charge normal d’un étudiant tourne autour d’une moyenne annuelle de 500.000 francs (CFA). Si l'on rapporte cela au nombre d'étudiants, le budget peut être multiplié par autant d'étudiants pour la prise en charge correcte de ces derniers au niveau social", a-t-il notamment déclaré dans un entretien paru dans l'édition de mardi du quotidien L'Observateur.
Selon le directeur du COUD, le budget annuel affecté à sa structure est loin de pouvoir faire face aux besoins des étudiants. "C'est un budget qui n'est pas très significatif quand on le met en rapport avec les besoins énormes de l'institution, en termes de restauration, d'hébergement, de frais médico-sociaux et socioculturels", a-t-il expliqué.
Abdoulaye Diouf Sarr renseigne que les crédits alloués au COUD se situent entre 16 et 17 milliards de francs CFA, des revenus qui proviennent essentiellement de la subvention de l'Etat, complétée par des ressources internes. "Donc le budget actuel est véritablement insuffisant pour nous permettre d'assurer convenablement notre mission", a souligné le nouveau Directeur du COUD.
Pour lui, les prestations du COUD ne se limitent pas seulement aux étudiants de l'Université de Dakar, d'autant que cette institution a également en charge la dimension sociale d'autres Universités publiques du pays.
"Le budget me semble très limité, surtout quand on considère le portage des Universités régionales, notamment Bambey, Ziguinchor et Thiès, où c'est le COUD qui prend en charge la dimension sociale", a souligné Abdoulaye Diouf Sarr.
Selon le directeur du COUD, le budget annuel affecté à sa structure est loin de pouvoir faire face aux besoins des étudiants. "C'est un budget qui n'est pas très significatif quand on le met en rapport avec les besoins énormes de l'institution, en termes de restauration, d'hébergement, de frais médico-sociaux et socioculturels", a-t-il expliqué.
Abdoulaye Diouf Sarr renseigne que les crédits alloués au COUD se situent entre 16 et 17 milliards de francs CFA, des revenus qui proviennent essentiellement de la subvention de l'Etat, complétée par des ressources internes. "Donc le budget actuel est véritablement insuffisant pour nous permettre d'assurer convenablement notre mission", a souligné le nouveau Directeur du COUD.
Pour lui, les prestations du COUD ne se limitent pas seulement aux étudiants de l'Université de Dakar, d'autant que cette institution a également en charge la dimension sociale d'autres Universités publiques du pays.
"Le budget me semble très limité, surtout quand on considère le portage des Universités régionales, notamment Bambey, Ziguinchor et Thiès, où c'est le COUD qui prend en charge la dimension sociale", a souligné Abdoulaye Diouf Sarr.