Le Bureau politique de l’Alliance des forces de progrès (Afp) d’hier a été présidé par El Hadji Malick Gackou. Dans le contexte actuel où tous ses gestes sont épiés, l’Afp communique pour dissiper tout malentendu dans ses rangs.
L’Alliance des forces de progrès (Afp) chasse les doutes. Dans un communiqué rédigé hier à l’issue de la réunion de son comité restreint du Bureau politique, l’on apprend que c’est sous la présidence de Malick Gackou que cette réunion hebdomadaire s’est tenue pour dissiper tout malentendu en particulier au lendemain de sa démission du gouvernement considérée comme une source de déstabilisation de son parti et de la coalition gouvernementale. Dans la presse, on apprenait que sa démission avait créé des remous et provoqué une rébellion silencieuse dans son propre parti où il ne faisait point l’unanimité. A ceux qui supputent des dissensions internes au sein du parti, l’Afp les fustige en les qualifiant de «pêcheurs en eau trouble, sycophantes frustrés par des défaites successives et par la perte d’un pouvoir qu’ils n’ont pu gérer pendant douze années, ni avec rigueur ni avec compétence».
Selon l’Alliance des forces de progrès (Afp), «une campagne insidieuse de désinformation et d’intoxication a été déclenchée contre ses dirigeants et notamment contre le Secrétaire général du parti, M. Moustapha Niasse». En dépit du contexte politique assez tendu, l’Afp se déclare sereine et n’entend pas se détourner de «son engagement résolu à continuer d’apporter une contribution de qualité à l’approfondissement et à la consolidation de la démocratie et de l’unité nationale».
Le parti du président de l’Assemblée nationale réaffirme son ancrage dans Benno siggil senegaal et dans Benno bokk yaakaar, tout en répétant à qui veut l’entendre que le parti n’a jamais évoqué l’éventualité ou le projet d’une fusion avec une autre formation politique : «Jamais, aucun contact n’a été pris sur une telle éventualité avec un leader de parti quel qu’il soit.» Une façon de réitérer son indépendance politique alors qu’une fusion avec l’Apr était dans toutes les lèvres des analystes politiques. Même dans leur rang, l’idée était pourtant agitée.
L’Alliance des forces de progrès (Afp) chasse les doutes. Dans un communiqué rédigé hier à l’issue de la réunion de son comité restreint du Bureau politique, l’on apprend que c’est sous la présidence de Malick Gackou que cette réunion hebdomadaire s’est tenue pour dissiper tout malentendu en particulier au lendemain de sa démission du gouvernement considérée comme une source de déstabilisation de son parti et de la coalition gouvernementale. Dans la presse, on apprenait que sa démission avait créé des remous et provoqué une rébellion silencieuse dans son propre parti où il ne faisait point l’unanimité. A ceux qui supputent des dissensions internes au sein du parti, l’Afp les fustige en les qualifiant de «pêcheurs en eau trouble, sycophantes frustrés par des défaites successives et par la perte d’un pouvoir qu’ils n’ont pu gérer pendant douze années, ni avec rigueur ni avec compétence».
Selon l’Alliance des forces de progrès (Afp), «une campagne insidieuse de désinformation et d’intoxication a été déclenchée contre ses dirigeants et notamment contre le Secrétaire général du parti, M. Moustapha Niasse». En dépit du contexte politique assez tendu, l’Afp se déclare sereine et n’entend pas se détourner de «son engagement résolu à continuer d’apporter une contribution de qualité à l’approfondissement et à la consolidation de la démocratie et de l’unité nationale».
Le parti du président de l’Assemblée nationale réaffirme son ancrage dans Benno siggil senegaal et dans Benno bokk yaakaar, tout en répétant à qui veut l’entendre que le parti n’a jamais évoqué l’éventualité ou le projet d’une fusion avec une autre formation politique : «Jamais, aucun contact n’a été pris sur une telle éventualité avec un leader de parti quel qu’il soit.» Une façon de réitérer son indépendance politique alors qu’une fusion avec l’Apr était dans toutes les lèvres des analystes politiques. Même dans leur rang, l’idée était pourtant agitée.