Selon le quotidien Libération lu par Setal.net, il a sollicité une visite médicale à l’hôpital Fann de Dakar. Ce qui lui fut accordé. A la suite de sa consultation, il a demandé au médecin son désir de se soulager dans les toilettes. Mais c’était pour prendre la clé des champs. Il a escaladé la fenêtre des toilettes pour se fondre dans la nature. Depuis, il n’a pas donné signe de vie.
Avant ce coup rocambolesque, il avait réussi à s’évader de la sinistre prison gambienne Mile-2. Rentré au Sénégal, il replonge dans le milieu du banditisme. Comme à son accoutumée, il se fait alpaguer. Mais il fait bégayer l’histoire et s’évade à deux reprises de la Mac de Saint-Louis. La Dic met fin à sa cavale.
Lors des Assises de mai 2012, lui et sa bande sont condamnés à perpétuité et transférés au Camp Pénal de liberté 6. Mais Amadou Lamine Ndiaye, qui se dit claustrophobe, c'est-à-dire il n’accepte pas d’être confiné entre quatre murs, fausse compagnie à l’administration pénitentiaire. Qui d’après Libération, fait des pieds et des mains pour mettre la main sur Lamine.
Avant ce coup rocambolesque, il avait réussi à s’évader de la sinistre prison gambienne Mile-2. Rentré au Sénégal, il replonge dans le milieu du banditisme. Comme à son accoutumée, il se fait alpaguer. Mais il fait bégayer l’histoire et s’évade à deux reprises de la Mac de Saint-Louis. La Dic met fin à sa cavale.
Lors des Assises de mai 2012, lui et sa bande sont condamnés à perpétuité et transférés au Camp Pénal de liberté 6. Mais Amadou Lamine Ndiaye, qui se dit claustrophobe, c'est-à-dire il n’accepte pas d’être confiné entre quatre murs, fausse compagnie à l’administration pénitentiaire. Qui d’après Libération, fait des pieds et des mains pour mettre la main sur Lamine.