"L’avenir est radieux (pour l’enseignement arabe). Pour le moment, il faut reconnaitre qu’il y a des problèmes liés à la reconnaissance de ce baccalauréat, mais il y a des efforts qui sont déployés depuis longtemps pour régler le problème", a-t-il dit.
Niang s’exprimait lors de la remise de diplômes aux 56 étudiants des huitième et neuvième promotions du bureau de l'Association mondiale de l’appel islamique (AMAI). Des ambassadeurs ouest-africains ont pris part à la manifestation.
Selon lui, "les acteurs du système de l’éducation islamique se réunissent quotidiennement et même périodiquement pour étudier les voies et moyens qui permettent d’avoir un programme unique pour l’enseignement islamique au Sénégal".
Il s’agit d’un programme "qui tiendra compte du programme de l’enseignement public pour que le diplôme soit reconnu par l’Etat". Il a plaidé pour une "harmonisation" entre le baccalauréat des écoles islamiques et celui des lycées, afin qu’il permette un accès à l'université publique.
"Je suis convaincu que, compte tenu des efforts qui sont déployés depuis très longtemps et de la volonté du gouvernement, d’ici peu de temps, le problème du baccalauréat va être réglé", a-t-il dit.
Le bureau l’Association mondiale de l’appel islamique (AMAI) a débuté officiellement ses activités au Sénégal en 1989 après la signature d’un accord de siège avec l’Etat sénégalais. Il a été depuis dirigé par six chefs de mission, tous de nationalité libyenne.
Ils ont toujours été assistés par un personnel local sénégalais et suppléés par des comptables de nationalité libyenne également, selon un document remis à des journalistes.
Le bureau de Dakar couvre la Mauritanie, la Guinée-Bissau, la Sierra Léone, l’Ile du Cap-Vert et supervise la République de Guinée et la Gambie. Il participe à la construction et à la réfection des écoles, des salles de classe qu’il équipe entièrement.
L’AMAI participe également à de nombreux projets initiés par l’Etat sénégalais, parmi lesquels, la Case des tout-petits où il a contribué à hauteur de plus de 44 millions de francs CFA (84.000 dollars), selon le même document.
Niang s’exprimait lors de la remise de diplômes aux 56 étudiants des huitième et neuvième promotions du bureau de l'Association mondiale de l’appel islamique (AMAI). Des ambassadeurs ouest-africains ont pris part à la manifestation.
Selon lui, "les acteurs du système de l’éducation islamique se réunissent quotidiennement et même périodiquement pour étudier les voies et moyens qui permettent d’avoir un programme unique pour l’enseignement islamique au Sénégal".
Il s’agit d’un programme "qui tiendra compte du programme de l’enseignement public pour que le diplôme soit reconnu par l’Etat". Il a plaidé pour une "harmonisation" entre le baccalauréat des écoles islamiques et celui des lycées, afin qu’il permette un accès à l'université publique.
"Je suis convaincu que, compte tenu des efforts qui sont déployés depuis très longtemps et de la volonté du gouvernement, d’ici peu de temps, le problème du baccalauréat va être réglé", a-t-il dit.
Le bureau l’Association mondiale de l’appel islamique (AMAI) a débuté officiellement ses activités au Sénégal en 1989 après la signature d’un accord de siège avec l’Etat sénégalais. Il a été depuis dirigé par six chefs de mission, tous de nationalité libyenne.
Ils ont toujours été assistés par un personnel local sénégalais et suppléés par des comptables de nationalité libyenne également, selon un document remis à des journalistes.
Le bureau de Dakar couvre la Mauritanie, la Guinée-Bissau, la Sierra Léone, l’Ile du Cap-Vert et supervise la République de Guinée et la Gambie. Il participe à la construction et à la réfection des écoles, des salles de classe qu’il équipe entièrement.
L’AMAI participe également à de nombreux projets initiés par l’Etat sénégalais, parmi lesquels, la Case des tout-petits où il a contribué à hauteur de plus de 44 millions de francs CFA (84.000 dollars), selon le même document.