Ino, de son vrai nom Alioune Abatalib Samb, est décédé en 2004 au Pavillon spécial de l’hôpital Le Dantec à cause d’une « insuffisance rénale », chose démentie par la famille du défunt notamment son frère qui parle de tortures ayant précipité sa mort.
« Mme le juge, je serai sincère avec vous. Si l’occasion se présente à nouveau, je vais encore m’évader. A la prison de Rebeuss, les conditions de détention sont difficiles, c’est pourquoi je m’étais évadé. Avant tout, je suis un être humain. Après mon arrestation, j’ai fait 38 jours de cellule. Je suis interdit de cour et on me refuse les soins. Ma dignité humaine est bafouée… » avait révélé Ino lors de son procès pour évasion, informations relayées par « Walf Quotidien », lues par senegal7.com.
D’après ses proches, « il avait fait amende honorable » en regrettant sa vie de délinquant.
Il avait même radicalement changé de vie. « Il passait tout son temps à prier et chapelet à la main », selon l’administration pénitentiaire.