Dans le but d'assainir et de promouvoir le secteur de l’information et de la communication, le ministère de la culture et de la communication ainsi que les différentes organisations et structures œuvrant pour une presse assainie, travaillent pour réguler le secteur de la presse. C'est ainsi qu'une carte nationale de presse selon des critères préétablis est instituée pour assainir le milieu. Une commission dirigée par le journaliste Daouda Mine a donc été mise en place pour entamer les démarches. Cependant, depuis son installation en Janvier dernier, la commission n'a toujours pas fait le point de la situation. C'est ce que tentera de faire le président de la commission Daouda Mine au cours de l'émission 'A la Loupe' sur la Rts1 ce dimanche.
D'après le président de la commission de la carte nationale de la presse, "il y'a une phase déjà engagée et qui concerne la mise sur pied d'un site qui va se charger de recueillir les dépôts en ligne. Toutefois, vu le contexte sanitaire imposé par la covid-19, il y'a eu un peu de retard par rapport à la procédure". En effet, après le vote de la loi suivi de l'installation de la commission, il était prévu de travailler sur un règlement intérieur pour fixer, au moins, les règles sur lesquelles les démarches se poseront. "Il fallait donc que nous pensions à tous ces facteurs bloquants pour favoriser le dépôt en ligne", indique Daouda Mine tout en rassurant que la mise en place du site est presque achevée et que dans un avenir proche, les dépôts vont être recueillis.
Le président de la commission aura rappelé d'autre part, étant donné qu'il s'agit de collecte de données, qu'il faut l'approbation de la Commission de Protection des Données Personnelles (CDP). Un agrément, une autorisation pour être en phase avec la législation d'autant plus qu'il s'agit de plusieurs données de journalistes à recenser. L'autre aspect soulevé également par le président de la commission de la carte nationale de presse, c'est qu'au niveau du dépôt, il y a un quitus qui doit être délivré par le CORED et qui est une obligation légale. En définitive, "il faut être en conformité avec la législation tout en étant en collaboration avec le Cored pour que les premiers pas soient faits", a conclu Daouda Mine.
D'après le président de la commission de la carte nationale de la presse, "il y'a une phase déjà engagée et qui concerne la mise sur pied d'un site qui va se charger de recueillir les dépôts en ligne. Toutefois, vu le contexte sanitaire imposé par la covid-19, il y'a eu un peu de retard par rapport à la procédure". En effet, après le vote de la loi suivi de l'installation de la commission, il était prévu de travailler sur un règlement intérieur pour fixer, au moins, les règles sur lesquelles les démarches se poseront. "Il fallait donc que nous pensions à tous ces facteurs bloquants pour favoriser le dépôt en ligne", indique Daouda Mine tout en rassurant que la mise en place du site est presque achevée et que dans un avenir proche, les dépôts vont être recueillis.
Le président de la commission aura rappelé d'autre part, étant donné qu'il s'agit de collecte de données, qu'il faut l'approbation de la Commission de Protection des Données Personnelles (CDP). Un agrément, une autorisation pour être en phase avec la législation d'autant plus qu'il s'agit de plusieurs données de journalistes à recenser. L'autre aspect soulevé également par le président de la commission de la carte nationale de presse, c'est qu'au niveau du dépôt, il y a un quitus qui doit être délivré par le CORED et qui est une obligation légale. En définitive, "il faut être en conformité avec la législation tout en étant en collaboration avec le Cored pour que les premiers pas soient faits", a conclu Daouda Mine.