Dans un communiqué, le ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Diom, avait mis en garde certains individus qui portent des cagoules et arborent des tenues et attributs dédiés aux forces de défense et de sécurité. A l’en croire, de pareils agissements créent la confusion aux yeux des populations et peuvent semer le doute sur l’imputabilité de certains actes malveillants susceptibles d’être commis par des personnes malintentionnées. De là, le ministre de l’Intérieur avait tenu à rappeler la loi interdisant le port de l’uniforme aux « civils ».
Sans doute, il faisait allusion aux éléments des gardes rapprochées de certains leaders de l’opposition politique. En examinant à la loupe ce très « courageux » communiqué, « Le Témoin » quotidien tient à son tour à rappeler à Monsieur Antoine Félix Diom, magistrat par excellence et ministre par répression, qu’une loi possède une portée générale. Donc elle est impersonnelle ! Dans ce cadre, le ministre de l’Intérieur doit d’abord faire appliquer cette interdiction du port de l’uniforme militaire dans les foyers religieux abritant des milices confrériques ou communautaires en gourdins faciles qui jouissent de l’impunité la plus complète. Pire, ces milices font même la police à la place de la Police en procédant à des arrestations et interrogatoires musclés comme l’avait si bien déploré un commissaire de police. Pendant ce temps, de pauvres pères de famille se transforment en gardes auprès des leaders politiques pour gagner honnêtement leur vie. Attention à une justice à deux vitesses considérée comme facteurs de risques de violence, de révolte et de qui peut bruler notre Sénégal !
Le Témoin
Sans doute, il faisait allusion aux éléments des gardes rapprochées de certains leaders de l’opposition politique. En examinant à la loupe ce très « courageux » communiqué, « Le Témoin » quotidien tient à son tour à rappeler à Monsieur Antoine Félix Diom, magistrat par excellence et ministre par répression, qu’une loi possède une portée générale. Donc elle est impersonnelle ! Dans ce cadre, le ministre de l’Intérieur doit d’abord faire appliquer cette interdiction du port de l’uniforme militaire dans les foyers religieux abritant des milices confrériques ou communautaires en gourdins faciles qui jouissent de l’impunité la plus complète. Pire, ces milices font même la police à la place de la Police en procédant à des arrestations et interrogatoires musclés comme l’avait si bien déploré un commissaire de police. Pendant ce temps, de pauvres pères de famille se transforment en gardes auprès des leaders politiques pour gagner honnêtement leur vie. Attention à une justice à deux vitesses considérée comme facteurs de risques de violence, de révolte et de qui peut bruler notre Sénégal !
Le Témoin