Interrogé hier lors de sa passation de service à l’Office central répression et du trafic des stupéfiants(Ocrtis) sur son rapport mettant à nue le Directeur général de la police nationale(DGPN) sénégalaise, le commissaire Abdoulaye Niang, le désormais ex patron de l’(Ocrtis) le commissaire Cheikha Cheikh Chadbou Keite reste imperturbable.
«Je ne laisse aucun flou derrière moi. C’est vous qui voyez le flou ici. Nous sommes des fonctionnaires, nous sommes avec nos raisons et nos bêtises. C’est peut être moi qui est tort dans cette affaire et les autres vont corriger parce que je suis partie et je ne suis pas juge. J’ai fait ce que j’ai à faire et je ne juge pas ce que je fais », répond le commissaire Keita aux journalistes.
S’il craint ou pas pour sa vie suite à cette affaire de drogue au sommet de la hiérarchie de la Police, il répond « Vous, vous pouvez pensez de la sorte, mais moi, je suis policier, je ne raisonne pas comme ça ».
Et de préciser comme minimisant le l’ampleur de l’acte de dénonciation qu’il fait dans un pays où cette habitude n’est pas connue « J’ai passé toute ma vie à faire face à des épreuves et je peux vous assurer que celle-là est la moins grande de celles que j’ai connues » a-t-on lu dans l’Observateur.
«Je ne laisse aucun flou derrière moi. C’est vous qui voyez le flou ici. Nous sommes des fonctionnaires, nous sommes avec nos raisons et nos bêtises. C’est peut être moi qui est tort dans cette affaire et les autres vont corriger parce que je suis partie et je ne suis pas juge. J’ai fait ce que j’ai à faire et je ne juge pas ce que je fais », répond le commissaire Keita aux journalistes.
S’il craint ou pas pour sa vie suite à cette affaire de drogue au sommet de la hiérarchie de la Police, il répond « Vous, vous pouvez pensez de la sorte, mais moi, je suis policier, je ne raisonne pas comme ça ».
Et de préciser comme minimisant le l’ampleur de l’acte de dénonciation qu’il fait dans un pays où cette habitude n’est pas connue « J’ai passé toute ma vie à faire face à des épreuves et je peux vous assurer que celle-là est la moins grande de celles que j’ai connues » a-t-on lu dans l’Observateur.