Selon le journal, Hitler aurait rencontré la mère de son fils en 1914 alors qu'il était engagé dans l'armée allemande. Le futur dictateur s'était rendu à Seboncourt en Picardie, où il aurait fait la connaissance de Charlotte Lobjoie, une adolescente de 16 ans, entre deux combats.
"Un jour, je faisais les foins avec d'autres femmes, lorsqu'on vit un soldat allemand", a confié Charlotte Lobjoie à son fils des années plus tard. "Il avait un carton et semblait dessiner. Toutes les femmes trouvèrent intéressant ce soldat et se montrèrent curieuses de savoir ce qu'il dessinait".
Charmant mais colérique
Et selon le récit de cette femme, Adolf Hitler se serait montré charmant. Tellement charmant qu'ils ont entamé une relation amoureuse à multiples coupures qui durera tout de même trois ans. Mais si l'idylle entre ces deux jeunes gens ne fut que de très courte durée, il semblerait que Charlotte a rapidement compris le côté colérique de son amant. "Il aimait m'emmener promener à la campagne. Mais ces promenades se terminaient en général plutôt mal. En effet, ton père, inspiré par la nature, entreprenait un discours auquel je ne comprenais pas grand-chose. Ne pouvant s'exprimer en français, il déclamait en allemand, s'adressant à un auditoire absent", confie-t-elle à Jean-Marie, son fils. "Ma réaction mettait ton père en colère en me voyant rester de marbre à ses effets oratoires!".
"Fils de Boche"
Selon Jean-Marie, c'est en juin 1917 qu'il aurait été conçu. Hitler serait venu voir sa maman, alors qu'il était complètement ivre. Très entreprenant, il parvient à ses fins. Charlotte tombe enceinte et Jean-Marie naîtra en mars de l'année suivante. Considéré comme un "fils de Boche", Jean-Marie est rejeté. Sa mère décide alors de le confier à un couple de riches Français qui adoptera le garçon en 1934. Hitler, son véritable père, a refusé de le reconnaître mais continue de prendre de ses nouvelles auprès de Charlotte.
Jean-Marie grandit en ignorant la véritable identité de son père, un homme qu'il connaît pourtant, qu'il déteste et qu'il a même combattu. C'est sur son lit de mort au début des années 50 que Charlotte avoue tout à son fils. Un choc pour le jeune homme qui décide de compenser son chagrin dans le travail acharné. "Je travaillais sans relâche, ne prenant jamais de vacances, jamais de distraction: vingt ans sans rentrer dans une salle de cinéma", finira-t-il par raconter dans un livre en 1981.
Enquête
Mais l'ouvrage ne recueille aucun succès. D'après le Point, l'ouvrage "Ton Père s'appelait Hitler" sort dans l'indifférence la plus totale. Pourtant, pour rédiger son livre-confessions, Jean-Marie se livre à une enquête profonde qui l'emmène en Allemagne.
Après de nombreuses études, groupe sanguin, expertise en méthode d'identification par la physionomie comparative, étude comparative psychographologique et beaucoup d'autres, l'enquête semble prouver que Jean-Marie est bel et bien le fils du dictateur. Le fait que des témoins on révélé que des officiers allemands apportaient régulièrement de l'argent à Charlotte, étaye également cette thèse. Des toiles signées "Adolf Hitler" seront également retrouvées dans les affaires de Charlotte après sa mort. (CB)
7sur7.be
"Un jour, je faisais les foins avec d'autres femmes, lorsqu'on vit un soldat allemand", a confié Charlotte Lobjoie à son fils des années plus tard. "Il avait un carton et semblait dessiner. Toutes les femmes trouvèrent intéressant ce soldat et se montrèrent curieuses de savoir ce qu'il dessinait".
Charmant mais colérique
Et selon le récit de cette femme, Adolf Hitler se serait montré charmant. Tellement charmant qu'ils ont entamé une relation amoureuse à multiples coupures qui durera tout de même trois ans. Mais si l'idylle entre ces deux jeunes gens ne fut que de très courte durée, il semblerait que Charlotte a rapidement compris le côté colérique de son amant. "Il aimait m'emmener promener à la campagne. Mais ces promenades se terminaient en général plutôt mal. En effet, ton père, inspiré par la nature, entreprenait un discours auquel je ne comprenais pas grand-chose. Ne pouvant s'exprimer en français, il déclamait en allemand, s'adressant à un auditoire absent", confie-t-elle à Jean-Marie, son fils. "Ma réaction mettait ton père en colère en me voyant rester de marbre à ses effets oratoires!".
"Fils de Boche"
Selon Jean-Marie, c'est en juin 1917 qu'il aurait été conçu. Hitler serait venu voir sa maman, alors qu'il était complètement ivre. Très entreprenant, il parvient à ses fins. Charlotte tombe enceinte et Jean-Marie naîtra en mars de l'année suivante. Considéré comme un "fils de Boche", Jean-Marie est rejeté. Sa mère décide alors de le confier à un couple de riches Français qui adoptera le garçon en 1934. Hitler, son véritable père, a refusé de le reconnaître mais continue de prendre de ses nouvelles auprès de Charlotte.
Jean-Marie grandit en ignorant la véritable identité de son père, un homme qu'il connaît pourtant, qu'il déteste et qu'il a même combattu. C'est sur son lit de mort au début des années 50 que Charlotte avoue tout à son fils. Un choc pour le jeune homme qui décide de compenser son chagrin dans le travail acharné. "Je travaillais sans relâche, ne prenant jamais de vacances, jamais de distraction: vingt ans sans rentrer dans une salle de cinéma", finira-t-il par raconter dans un livre en 1981.
Enquête
Mais l'ouvrage ne recueille aucun succès. D'après le Point, l'ouvrage "Ton Père s'appelait Hitler" sort dans l'indifférence la plus totale. Pourtant, pour rédiger son livre-confessions, Jean-Marie se livre à une enquête profonde qui l'emmène en Allemagne.
Après de nombreuses études, groupe sanguin, expertise en méthode d'identification par la physionomie comparative, étude comparative psychographologique et beaucoup d'autres, l'enquête semble prouver que Jean-Marie est bel et bien le fils du dictateur. Le fait que des témoins on révélé que des officiers allemands apportaient régulièrement de l'argent à Charlotte, étaye également cette thèse. Des toiles signées "Adolf Hitler" seront également retrouvées dans les affaires de Charlotte après sa mort. (CB)
7sur7.be