Deux semaines en cellule. Même dans ses rêves les plus fous, le journaliste Cheikh Yérim Seck, aujourd’hui accusé de viol et de séquestration au préjudice de la fille Ndèye Aïssatou Tall, ne l’aurait jamais imaginé. Mais depuis plus de 15 jours, le très célébré directeur du journal en ligne Dakaractu.com est pensionnaire de la Maison d’arrêt et de correction de Rebeuss.
Jugé le mercredi 19 septembre, son procès a tiré en longueur puisqu’il a duré 16 heures d’horloge - du jamais vu ici au Sénégal, dont le délibéré est attendu pour demain, mercredi 26 septembre 2012.
Lors de ce marathon, les deux parties se s’en sont données à cœur joie. Si le journaliste a été traité de tous les noms d’oiseau (de sexpert, de maniaques sexuels, de pervers etc.) par les conseils de la partie civile qui réclament 100 millions pour laver l’honneur de la présumée victime, celle-ci n’a pas été épargnée. Loin de là. En effet, la fille du magistrat Boubou Diouf Tall, Ndèye Aïssatou Tall, qui devant la barre donnait l’impression de quelqu’un qui n’a pas froid aux yeux, a fini par craquer et s’éclater en sanglots. La défense qui n’a pas courbé l’échine a mis en doute le certificat médical qui certifie qu’elle a perdu l’hymen au cours de ses galipettes avec le journaliste.
Pour les conseils de Cheikh Yérim Seck, Aïssatou Tall était plus que consentante car elle n’a pas décliné l’invitation de son présumé « bourreau », ni fait machine arrière quand elle a été invitée par ce dernier à le rejoindre dans sa chambre d’hôtel. Ne parlons pas des flirts, du temps de latence mis entre le « coït » et les préliminaires pour permettre à Yérim d’enfiler son préservatif.
Mieux, un avocat de la défense, Me. Kane a souligné un détail qu’on ne peut plus croustillant ; il s’est appuyé sur une remarque du certificat médical pour inviter à réfléchir. Pour lui, s’il y a des saignements utérins comme le stipule le CM, c’est parce que la fille a assez écarté les jambes pour accueillir le membre dressé de son « violeur ».
Des faits qui ne militent pas pour la condamnation du journaliste qui, s’il est reconnu coupable du délit de viol, pourrait passer les trois prochaines années de sa vie en taule, le Procureur ayant requis 3 ans de prison ferme contre Cheikh Yérim Seck. Ceci étant dit, il n’est pas impossible qu’un appel soit immédiatement interjeté par ses avocats. Ce qui provoquerait un long processus juridico-sexo-journalistique en perspectives…
Jugé le mercredi 19 septembre, son procès a tiré en longueur puisqu’il a duré 16 heures d’horloge - du jamais vu ici au Sénégal, dont le délibéré est attendu pour demain, mercredi 26 septembre 2012.
Lors de ce marathon, les deux parties se s’en sont données à cœur joie. Si le journaliste a été traité de tous les noms d’oiseau (de sexpert, de maniaques sexuels, de pervers etc.) par les conseils de la partie civile qui réclament 100 millions pour laver l’honneur de la présumée victime, celle-ci n’a pas été épargnée. Loin de là. En effet, la fille du magistrat Boubou Diouf Tall, Ndèye Aïssatou Tall, qui devant la barre donnait l’impression de quelqu’un qui n’a pas froid aux yeux, a fini par craquer et s’éclater en sanglots. La défense qui n’a pas courbé l’échine a mis en doute le certificat médical qui certifie qu’elle a perdu l’hymen au cours de ses galipettes avec le journaliste.
Pour les conseils de Cheikh Yérim Seck, Aïssatou Tall était plus que consentante car elle n’a pas décliné l’invitation de son présumé « bourreau », ni fait machine arrière quand elle a été invitée par ce dernier à le rejoindre dans sa chambre d’hôtel. Ne parlons pas des flirts, du temps de latence mis entre le « coït » et les préliminaires pour permettre à Yérim d’enfiler son préservatif.
Mieux, un avocat de la défense, Me. Kane a souligné un détail qu’on ne peut plus croustillant ; il s’est appuyé sur une remarque du certificat médical pour inviter à réfléchir. Pour lui, s’il y a des saignements utérins comme le stipule le CM, c’est parce que la fille a assez écarté les jambes pour accueillir le membre dressé de son « violeur ».
Des faits qui ne militent pas pour la condamnation du journaliste qui, s’il est reconnu coupable du délit de viol, pourrait passer les trois prochaines années de sa vie en taule, le Procureur ayant requis 3 ans de prison ferme contre Cheikh Yérim Seck. Ceci étant dit, il n’est pas impossible qu’un appel soit immédiatement interjeté par ses avocats. Ce qui provoquerait un long processus juridico-sexo-journalistique en perspectives…