Représentante résidente de l'Organisation mondiale de la santé au Sénégal (OMS), Dr Lucile Imboua a pris par, ce dimanche, à la cérémonie de lancement de la campagne synchronisée de distribution des moustiquaires imprégnées d'insecticide à longue durée d'action ( MILDA) entre le Sénégal et la Gambie à Keur Ayib ( Kaolack). Une activite qui coïncide avec la célébration de la journée mondiale de lutte contre le paludisme au Sénegal. Laquelle a pour thème : Zéro palu, je mengage. " Au Sénégal, les progrès sont appréciables. En effet, la prévalence parasitaire est passée de 1,2% en 2014 à 0,4% en 2017. Le taux de réalisation des tests et se dispensation ACT ont atteint des performances supérieures à 95% au niveau des structures sanitaires et communautaires. A celà s'ajoute, la prise en compte des politiques stratégiques requises pour l'atteinte de l'objectif des pré elimination dans la stratégie 2016-2020" , a-t-elle renseigné.
Plus loin, Dr Lucile Imboua dira: "Ce que nous vivons aujourd'hui concrétise l'engagement de deux pays pour éliminer le paludisme. S'engager, c'est aussi donner des moyens d'action aux d'individus et communautés dans l'adoption et le déploiement d'interventions simples ayant un bon rapport coût-efficacité tels que l'usage de moustiquaires imprégnées". Selon elle, la collaboration transfrontalière constitue un base propice à la lutte contre le paludisme. Mieux, Dr Imboua avance que les pays qui s'approchent de l'élimination enregistrent souvent leurs derniers cas le long des frontières avec des pays qui n'ont pas réussi à réduire de manière notable la transmission de cette maladie. C'est la raison pour laquelle, indique-t-elle, les pays sont encouragés à collaborer à un stade précoce afin de réduire la période d'élimination.
Pour sa part, le maire de Médina Sabakh, Ousmane Guèye a fait savoir que sa commune n'a pas de budget suffisant pout supportet les cas evacuations de malades. Pour cela, il a plaidé pour la construction d'un centre de santé pour soulager la souffrance des populations.
Au finish, les acteurs de la santé ont laissé entendre que la pré élimination et l'élimination peuvent devenir possibles si les deux pays travaillent ensemble. Ceci grâce à ce premier exemple de coopération dans la campagne de distribution des moustiquaires imprégnées car ce sont plusieurs villages qui ceinturent les deux frontières.
Plus loin, Dr Lucile Imboua dira: "Ce que nous vivons aujourd'hui concrétise l'engagement de deux pays pour éliminer le paludisme. S'engager, c'est aussi donner des moyens d'action aux d'individus et communautés dans l'adoption et le déploiement d'interventions simples ayant un bon rapport coût-efficacité tels que l'usage de moustiquaires imprégnées". Selon elle, la collaboration transfrontalière constitue un base propice à la lutte contre le paludisme. Mieux, Dr Imboua avance que les pays qui s'approchent de l'élimination enregistrent souvent leurs derniers cas le long des frontières avec des pays qui n'ont pas réussi à réduire de manière notable la transmission de cette maladie. C'est la raison pour laquelle, indique-t-elle, les pays sont encouragés à collaborer à un stade précoce afin de réduire la période d'élimination.
Pour sa part, le maire de Médina Sabakh, Ousmane Guèye a fait savoir que sa commune n'a pas de budget suffisant pout supportet les cas evacuations de malades. Pour cela, il a plaidé pour la construction d'un centre de santé pour soulager la souffrance des populations.
Au finish, les acteurs de la santé ont laissé entendre que la pré élimination et l'élimination peuvent devenir possibles si les deux pays travaillent ensemble. Ceci grâce à ce premier exemple de coopération dans la campagne de distribution des moustiquaires imprégnées car ce sont plusieurs villages qui ceinturent les deux frontières.