Ce qui, à la limite ouvrira la voie à une famine animale qui menacera directement un effectif de plus de deux (2) millions de têtes (bovins, ovins et caprins). Selon, le président de la maison des éleveurs de Kaolack, « ces pluies sont arrivées dans le « Saloum » au mauvais moment, car selon certains experts, les pluies de contre saison élevées souvent à un niveau de mesure de 1mm, provoquent des dégâts énormes sur le tapis herbacé. Non seulement, elles diminuent la densité des éléments nutritifs contenus dans l’herbe, mais elles fissent le plus souvent par pourrir l’herbe et le cheptel, par conséquent, ne sera plus en mesure de consommer l’herbe déjà pourrie.
Aujourd’hui, nous risquons d’aller vers une situation de famine si l’Etat ne nous vient pas en aide, autrement dit, nous assurer la subvention de l’aliment de bétail pour permettre aux éleveurs d’avoir un accès facile à ces produits. Mais également, à garantir aux animaux le minimum de couverture sanitaire avec des médicaments pour pouvoir supporter le froid ». Toutefois, à pareilles périodes de l’année, les éleveurs de la région de Kaolack vivent les moments les plus difficiles pour assurer à leurs bêtes une consommation qualitative et quantitative en matière de nourriture.
Dans le bassin arachidier, les aires de broutage réservées aux animaux, visiblement, sont encore loin de couvrir les besoins en alimentation. Cette situation favorise le plus souvent les multiples agressions exercées sur le parc végétal et les réserves végétales mises à défens. Mais, c’est aussi le moment choisi par les éleveurs de l’intérieur du pays de transhumer vers le bassin arachidier. Et chaque année, durant, plusieurs milliers de troupeaux quittent leurs villages d’origine pour s’installer dans le « Saloum » où ils pourront brouter paisiblement le temps d’attendre la régénération de leur sol.
Aujourd’hui, nous risquons d’aller vers une situation de famine si l’Etat ne nous vient pas en aide, autrement dit, nous assurer la subvention de l’aliment de bétail pour permettre aux éleveurs d’avoir un accès facile à ces produits. Mais également, à garantir aux animaux le minimum de couverture sanitaire avec des médicaments pour pouvoir supporter le froid ». Toutefois, à pareilles périodes de l’année, les éleveurs de la région de Kaolack vivent les moments les plus difficiles pour assurer à leurs bêtes une consommation qualitative et quantitative en matière de nourriture.
Dans le bassin arachidier, les aires de broutage réservées aux animaux, visiblement, sont encore loin de couvrir les besoins en alimentation. Cette situation favorise le plus souvent les multiples agressions exercées sur le parc végétal et les réserves végétales mises à défens. Mais, c’est aussi le moment choisi par les éleveurs de l’intérieur du pays de transhumer vers le bassin arachidier. Et chaque année, durant, plusieurs milliers de troupeaux quittent leurs villages d’origine pour s’installer dans le « Saloum » où ils pourront brouter paisiblement le temps d’attendre la régénération de leur sol.