Après, Ziguinchor et Sédhiou, Kolda vient à son tour abriter un CRD sur les activités écoulées (2011-2012) du PADEC avant de voir le planning des activités de l’année prochaine, au sein de l’hôtel Hobbe. Et, ce sous la présence du gouverneur M Mamadou Diao, de l’adjoint du préfet M Sow, du coordonnateur du PADEC M Cheikh Daouda Diallo et des PCR.
En, ce sens, ce projet d’une durée de cinq(05) ans, vise à contribuer à réduire de 50% l’incidence des ménages sénégalais d’ici 2015(OMD1) et promouvoir le développement et à la mise en valeur du potentiel agricole et agro-alimentaire de la Casamance par le biais des petits producteurs grâce à un appui aux filières porteuses (mangue, banane, miel, anacarde entre autres).
Cette transition passe forcément par l’encadrement des groupements aux techniques de production, de la conservation et à la commercialisation des produits et sur ce le programme compte toucher dix(10000) mille producteurs soit 6000 dans la filière fruitière, 2000 dans la filière miel et 2000 dans la filière anacarde.
En ce sens, M Guéye conseillère en suivi-évaluation du PADEC est revenue amplement sur les critères de sélection des groupements et la dynamique de ces derniers dans la production.
C’est pourquoi M Cheikh Daouda Diallo revient sur les raisons du CRD « cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’une suite logique des activités du PADEC menées un an après son lancement officiel dans les régions de Ziguinchor, Sédhiou et Kolda pour évaluer nos activités dans cette phase test ».
Dans ce sillage nous avons pu recenser 38 sous-projets dans la région naturelle de la Casamance dont 30 à Kolda, pour ce qui est de Ziguinchor nous avons 08 unités de productions, 02 unités à Diattacounda et des unités de miel à Saré Souna (CR Bagadadji) pour permettre aux populations de se prendre en charge, même si les femmes de Ziguinchor sont plus dynamiques dixit M Diallo.
Dans le programme à venir nous pensons que l’écart existant entre Kolda et Ziguinchor sera considérablement réduit par ce-que les productrices de Kolda commencent à prendre conscience de l’enjeu du développement selon, toujours, M Diallo.
Planifié dans le cadre de programmation canado-sénégalais 2001-2011, le PADEC vise à améliorer le quotidien des populations locales voire apaiser leurs souffrances.
AMADOU MAHMOUD DIALLO/KOLDA
En, ce sens, ce projet d’une durée de cinq(05) ans, vise à contribuer à réduire de 50% l’incidence des ménages sénégalais d’ici 2015(OMD1) et promouvoir le développement et à la mise en valeur du potentiel agricole et agro-alimentaire de la Casamance par le biais des petits producteurs grâce à un appui aux filières porteuses (mangue, banane, miel, anacarde entre autres).
Cette transition passe forcément par l’encadrement des groupements aux techniques de production, de la conservation et à la commercialisation des produits et sur ce le programme compte toucher dix(10000) mille producteurs soit 6000 dans la filière fruitière, 2000 dans la filière miel et 2000 dans la filière anacarde.
En ce sens, M Guéye conseillère en suivi-évaluation du PADEC est revenue amplement sur les critères de sélection des groupements et la dynamique de ces derniers dans la production.
C’est pourquoi M Cheikh Daouda Diallo revient sur les raisons du CRD « cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’une suite logique des activités du PADEC menées un an après son lancement officiel dans les régions de Ziguinchor, Sédhiou et Kolda pour évaluer nos activités dans cette phase test ».
Dans ce sillage nous avons pu recenser 38 sous-projets dans la région naturelle de la Casamance dont 30 à Kolda, pour ce qui est de Ziguinchor nous avons 08 unités de productions, 02 unités à Diattacounda et des unités de miel à Saré Souna (CR Bagadadji) pour permettre aux populations de se prendre en charge, même si les femmes de Ziguinchor sont plus dynamiques dixit M Diallo.
Dans le programme à venir nous pensons que l’écart existant entre Kolda et Ziguinchor sera considérablement réduit par ce-que les productrices de Kolda commencent à prendre conscience de l’enjeu du développement selon, toujours, M Diallo.
Planifié dans le cadre de programmation canado-sénégalais 2001-2011, le PADEC vise à améliorer le quotidien des populations locales voire apaiser leurs souffrances.
AMADOU MAHMOUD DIALLO/KOLDA