Ce projet qui visait à promouvoir un environnement sain pour le bien être des populations en matière de santé communautaire par la construction de latrines, le ramassage des ordures ménagères et la sensibilisation des maladies liées à l’eau et au péril fécal.
L’étude révèle en ce sens que sur les 815 latrines promises ont été réalisées à hauteur de 100% aussi bien dans la commune de Kolda qu’en zone rurale.
Et, que ce programme a touché, pendant les trois(03) ans qu’a duré le projet, les secteurs de l’éducation, les ménages et les personnes morales.
Dans le secteur de l’éducation 466 enseignants venus de 20 écoles dans la commune et 509 en zone rurale répartis dans 25écoles ont été formés à la gestion de l’eau, à l’assainissement et à l’hygiène.
En ce sens le PAPH de par son comité de pilotage compris entre les ONG FODDE, Aide et Action et la mairie de Kolda a participé à la réduction des maladies liées à l’eau et à l’assainissement mais surtout encore une bonne connaissance des dangers du péril fécal.
La restitution de l’enquête a ressorti un changement de comportement des populations car beaucoup d’entre elles utilisent, aujourd’hui, les latrines et les pratiques d’hygiène aussi bien dans les maisons qu’à l’école.
D’après M Baidy Ndiaye consultant de la restitution et de l’étude il faut pérenniser les acquis « nous pensons qu’aujourd’hui les populations ont compris les conséquences nocives sur le péril fécal ».
Quant à M Oumar Niang patron Aide et Action de Kolda et membre du comité de pilotage du PAPH s’est félicité de la bonne gestion du programme « nous avons atteint un certain nombre d’objectifs même s’il reste beaucoup à faire en matière de santé publique ».
Par cette réunion évaluative du comité de pilotage du PAPH le projet prend fin et compte sur l’appui du RECOSAK pour s’inscrire dans la continuité et devenir un modèle pour la région de Kolda voire du Sénégal.
AMADOU MAHMOUD DIALLO/KOLDA
L’étude révèle en ce sens que sur les 815 latrines promises ont été réalisées à hauteur de 100% aussi bien dans la commune de Kolda qu’en zone rurale.
Et, que ce programme a touché, pendant les trois(03) ans qu’a duré le projet, les secteurs de l’éducation, les ménages et les personnes morales.
Dans le secteur de l’éducation 466 enseignants venus de 20 écoles dans la commune et 509 en zone rurale répartis dans 25écoles ont été formés à la gestion de l’eau, à l’assainissement et à l’hygiène.
En ce sens le PAPH de par son comité de pilotage compris entre les ONG FODDE, Aide et Action et la mairie de Kolda a participé à la réduction des maladies liées à l’eau et à l’assainissement mais surtout encore une bonne connaissance des dangers du péril fécal.
La restitution de l’enquête a ressorti un changement de comportement des populations car beaucoup d’entre elles utilisent, aujourd’hui, les latrines et les pratiques d’hygiène aussi bien dans les maisons qu’à l’école.
D’après M Baidy Ndiaye consultant de la restitution et de l’étude il faut pérenniser les acquis « nous pensons qu’aujourd’hui les populations ont compris les conséquences nocives sur le péril fécal ».
Quant à M Oumar Niang patron Aide et Action de Kolda et membre du comité de pilotage du PAPH s’est félicité de la bonne gestion du programme « nous avons atteint un certain nombre d’objectifs même s’il reste beaucoup à faire en matière de santé publique ».
Par cette réunion évaluative du comité de pilotage du PAPH le projet prend fin et compte sur l’appui du RECOSAK pour s’inscrire dans la continuité et devenir un modèle pour la région de Kolda voire du Sénégal.
AMADOU MAHMOUD DIALLO/KOLDA