Aujourd’hui, le constat est là tous les domaines sont au ralentis en passant de la politique au sport faisant entrevoir une guerre qui ne dit pas son mot entre les différents responsables.
Les populations sont en effet pris entre le marteau et l’enclume car ne savent pas à quel saint se vouer ce qui est urgent à leurs yeux c’est le développement de Kolda.
Par exemple, si on prend le coté du football les responsables ne parviennent pas à s’entendre sur la mise en place d’un bureau exécutif pour l’équipe fanion l’avenir faisant entrevoir la division autour de la question du leadership.
Cette situation a fait régresser le football car l’avenir descend en division régionale résultant de la faiblesse des dirigeants à s’entendre.
C’est le même cas dans le jeu politique ou les dirigeants constituent un frein pour le développement de la région car chacun ne soucie que de ses propres intérêts que le bas peuple.
Interpelé sur la question M Y. F dira « je pense qu’il faut restructurer tout car nous ne sommes pas maudits, je pense que nous devrions trouver un accord entre nous au lieu de penser aux considérations politiques ».
C’est le cas avec le problème de la grande mosquée qui risque de s’effondre sur les fidèles car elle est en état de délabrement très avancé vu sa date de création depuis 1940, qui a vu une marche organisée pour sa reconstruction totale.
Le véritable facteur de blocage de la région est donc lié au manque absolu de leadership capable de sortir le terroir de la souffrance.
AMADOU MAHMOUD DIALLO/KOLDA
Les populations sont en effet pris entre le marteau et l’enclume car ne savent pas à quel saint se vouer ce qui est urgent à leurs yeux c’est le développement de Kolda.
Par exemple, si on prend le coté du football les responsables ne parviennent pas à s’entendre sur la mise en place d’un bureau exécutif pour l’équipe fanion l’avenir faisant entrevoir la division autour de la question du leadership.
Cette situation a fait régresser le football car l’avenir descend en division régionale résultant de la faiblesse des dirigeants à s’entendre.
C’est le même cas dans le jeu politique ou les dirigeants constituent un frein pour le développement de la région car chacun ne soucie que de ses propres intérêts que le bas peuple.
Interpelé sur la question M Y. F dira « je pense qu’il faut restructurer tout car nous ne sommes pas maudits, je pense que nous devrions trouver un accord entre nous au lieu de penser aux considérations politiques ».
C’est le cas avec le problème de la grande mosquée qui risque de s’effondre sur les fidèles car elle est en état de délabrement très avancé vu sa date de création depuis 1940, qui a vu une marche organisée pour sa reconstruction totale.
Le véritable facteur de blocage de la région est donc lié au manque absolu de leadership capable de sortir le terroir de la souffrance.
AMADOU MAHMOUD DIALLO/KOLDA