SETAL.NET - Ce mardi 19 Mars 2013, se sont réunis les conseillers régionaux, municipaux et ruraux, dans la salle de délibération de la mairie pour valider le PRDI (programme régional de développement intégré) en compagnie des autorités administratives et des coopérations espagnole(AECID) et sénégalo-allemande(PERACOD).
Et, ce sous la présidence du président du conseil régional M Fabouly Gaye, du gouverneur de région, des préfets (départements de Kolda, médina Yoro foula et Vélingara), des maires, des chefs de service régionaux pour partager ce document de planification appelé le PRDI.
En effet, ce document vise à améliorer les problèmes liés à la gestion des ressources forestières de la région par la gouvernance participative qui sont aujourd’hui mises à rude épreuve par l’exploitation abusive de l’économie verte.
C’est pourquoi les consultants du jour messieurs Charpin et Dieng ont élaboré un plan détaillé pour l’exécution du projet pour une durée de six(06) ans pour un financement allant de 5,2 à 4,75 millions.
Ainsi, M Charpin aborde en ce sens « nous devons mobiliser les moyens financiers au profit des communautés de base car les forêts doivent contribuer à la satisfaction des populations rurales ».
C’est pourquoi, aujourd’hui, la principale question reste à savoir comment responsabiliser les collectivités locales dans le domaine de la gestion des ressources de l’économie verte.
Pour certains, comme M Abdoulaye Cissé (président de la convention des jeunes de Kolda) il est inadmissible que la région occupe la dernière place au niveau national vu son capital en ressources forestières et en termes d’investissement.
Dans ce même cadre il faut mutualiser les actions du SRAT (schéma régional de développement) et le PRDI pour avoir une même vision du développement pour Kolda.
C’est pourquoi, M Fabouly Gaye président du conseil régional aborde en ces termes « nous devons dépasser les théories et nous mettre au service des populations car elles doivent être au cœur de nos préoccupations et de l’état ».
Le problème de la gestion de la forêt doit être réglé collectivement et non individuellement car ces ressources doivent être facteur de développement pour les collectivités locales dans le cadre de la décentralisation dixit M Gaye.
Et, ce sous la présidence du président du conseil régional M Fabouly Gaye, du gouverneur de région, des préfets (départements de Kolda, médina Yoro foula et Vélingara), des maires, des chefs de service régionaux pour partager ce document de planification appelé le PRDI.
En effet, ce document vise à améliorer les problèmes liés à la gestion des ressources forestières de la région par la gouvernance participative qui sont aujourd’hui mises à rude épreuve par l’exploitation abusive de l’économie verte.
C’est pourquoi les consultants du jour messieurs Charpin et Dieng ont élaboré un plan détaillé pour l’exécution du projet pour une durée de six(06) ans pour un financement allant de 5,2 à 4,75 millions.
Ainsi, M Charpin aborde en ce sens « nous devons mobiliser les moyens financiers au profit des communautés de base car les forêts doivent contribuer à la satisfaction des populations rurales ».
C’est pourquoi, aujourd’hui, la principale question reste à savoir comment responsabiliser les collectivités locales dans le domaine de la gestion des ressources de l’économie verte.
Pour certains, comme M Abdoulaye Cissé (président de la convention des jeunes de Kolda) il est inadmissible que la région occupe la dernière place au niveau national vu son capital en ressources forestières et en termes d’investissement.
Dans ce même cadre il faut mutualiser les actions du SRAT (schéma régional de développement) et le PRDI pour avoir une même vision du développement pour Kolda.
C’est pourquoi, M Fabouly Gaye président du conseil régional aborde en ces termes « nous devons dépasser les théories et nous mettre au service des populations car elles doivent être au cœur de nos préoccupations et de l’état ».
Le problème de la gestion de la forêt doit être réglé collectivement et non individuellement car ces ressources doivent être facteur de développement pour les collectivités locales dans le cadre de la décentralisation dixit M Gaye.